Clémentine Autain : « Il y a une différence entre les sexes dans la façon de manger la viande »<!-- --> | Atlantico.fr
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Clémentine Autain a tenu à apporter son soutien à Sandrine Rousseau qui avait dit que le barbecue était un symbole inacceptable de « virilité ».
Clémentine Autain a tenu à apporter son soutien à Sandrine Rousseau qui avait dit que le barbecue était un symbole inacceptable de « virilité ».
©REMY GABALDA / AFP

Une grande découverte

C’est tellement évident qu’on avait oublié d’y penser…

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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La députée insoumise voulait apporter son soutien à Sandrine Rousseau qui avait dit que le barbecue était un symbole inacceptable de « virilité ». Exit donc l’affreux barbecue.

Mais restait la viande, ce qui n’est pas bien. Clémentine Autain a donc volé au secours de Sandrine Rousseau pour dire tout le mal qu’elle pensait de la barbaque, de la bidoche. Car -  et comment ne pas être d’accord avec elle – l’entrecôte est aussi coupable que le barbecue sur lequel elle cuit.

Donc, selon Clémentine Autain, il y a une « différence entre les sexes sur la façon de manger les viandes ». L’homme, le mâle qui est un affreux viandard, la saisit dans ses mains et la dévore à la façon d’un fauve.

La femme, être subtil et délicat, la déguste avec des baguettes qu’elle a empruntées chez le chinois du coin. Mais les baguettes, ça ne coupe pas. Comment faire alors ? C’est le mâle déchainé qui arrache les morceaux de l’entrecôte avec ses dents puis les tend à sa belle. Viande pour viande parlons de celle des corps.

La brute masculine se jette goulument sur sa compagne et lui fait subir les derniers outrages en poussant des grognements de jouissance  La femme au contraire effleure doucement le corps du mâle avec des doigts qu’elle a fins. Merci à Clémentine Autain de nous avoir aidé à comprendre pourquoi nous aimons les femmes. 

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