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Depuis quelques semaines, les négociations, en vue d’un accord d’échange de prisonniers et de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, ont repris. Avec des signaux encourageants.

Un responsable du mouvement islamiste palestinien a réagi à la suite de l’entrée en vigueur au Liban, à l’aube ce mercredi, d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah.

Au Liban, la trêve entre Israël et le Hezbollah, négociée sous l’égide des États-Unis et de la France, est entrée en vigueur tôt mercredi. L’armée israélienne dispose désormais de 60 jours pour se retirer progressivement du territoire libanais.

Tandis qu’Israël poursuit sa campagne de bombardements contre le Hezbollah, qui a fait plus de 600 morts depuis lundi, les diplomates occidentaux s’activent pour ouvrir la voie à un règlement négocié de cette crise.

Vendredi dernier, Washington avait soumis une proposition de compromis pour une trêve lors de négociations à Doha. Antony Blinken a affirmé que Benyamin Netanyahou avait « accepté » ce plan et a appelé le Hamas à « faire de même ».

Ce lundi à Tel-Aviv, le chef de la diplomatie américaine a rencontré le président israélien, Isaac Herzog. C’est le neuvième voyage du secrétaire d’État américain en Israël depuis le début de la guerre.

Kamala Harris et des dizaines de démocrates ont boycotté le discours du Premier ministre israélien.

La pression de Itamar Ben-Gvir, ministre de la Sécurité nationale et Bezalel Smotrich, ministre des Finances, semble avoir fait reculé le premier ministre israélien sur la négociation d’un cessez-le-feu.

Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a estimé jeudi que la reconstruction devrait coûter entre 30 et 40 milliards de dollars.

Après plus de cinq mois de guerre, le Conseil de sécurité de l'ONU a enfin adopté ce lundi une résolution exigeant un « cessez-le-feu immédiat » à Gaza.

Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a vivement critiqué le rôle des Etats-Unis dans le cadre du conflit entre Israël et le Hamas.

« C'est la bonne décision à prendre» , avait assuré le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou

Le chef de l'État a pris position en faveur d'un « cessez-le-feu » dans la bande de Gaza lors d'une conférence humanitaire à l’Élysée. Une hypothèse balayée par Benjamin Netanyahu à plusieurs reprises.

On croit que le pacifisme est la quintessence de la vertu politique. C’est une erreur grave. Et le signe supplémentaire que l’histoire du nazisme et du communisme ne nous ont pas immunisés.

C’est déjà le 25ᵉ jour après les attentats du 7 octobre, et les combats sont toujours aussi féroces.

Depuis plus de deux mois, l'armée régulière soudanaise et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) s'affrontent, entraînant des destructions dans la capitale et une violence qui se propage à la région du Darfour, forçant plus de 2,5 millions de personnes à fuir leur domicile.

Le secrétaire d'État américain Anthony Blinken a annoncé lundi 24 avril que les généraux en conflit au Soudan avaient convenu d'un cessez le feu dans tout le pays, sur proposition américaine, afin de tenter de mettre fin aux violences.

A l'occasion des célébrations de la Noël orthodoxe, Vladimir Poutine avait ordonné à ses forces d'observer un cessez-le-feu de 36 heures.

Le président russe a indiqué que ce jour inspirait « de bonnes actions ».

Les tirs d’artillerie se poursuivent côté russe et côté ukrainien ce vendredi, alors que la première trêve d’ampleur depuis le début de l’invasion devait débuter à l’occasion du Noël orthodoxe.