Le 26 octobre 2025 marque une nouvelle étape du « mileisme » en Argentine : la victoire du président Javier Milei aux élections législatives de mi-mandat confirme le choix argentin, déjà amorcé en 2023, en faveur d’un programme résolument libéral.

En France, la tentation d'inventer chaque année de nouvelles taxes, souvent absurdes et contre-productives, semble irrésistible. Sous prétexte de justice sociale ou d'écologie, l’État multiplie les impôts symboliques qui ratent leur cible, détruisent la base fiscale et font fuir les investisseurs.

Alors que les Français avaient l’habitude de se comparer à l’Allemagne et à l’Angleterre, vont-ils bientôt devoir se comparer à leurs voisins transalpins ?

L’équipe de Trump veut de créer un choc puissant et rapide, en maniant la dynamite et la tronçonneuse chère à Milei, afin de provoquer un mouvement de destruction créatrice, en supprimant de nombreuses agences fédérales et en menant une déréglementation massive, pour mieux libérer la capacité d’initiative, d’investissement et de travail des entreprises du secteur privé.

L’élection d’un président libertarien, une première historique mondiale, a une portée plus importante que nous pourrions le croire pour l’avenir de la France.

Le réveil a été rude ce matin du jeudi 24 février. L’Europe va payer cher le prix de ses illusions, de sa pusillanimité et de sa faiblesse. Mais ce réveil, après la première alerte lancée par la pandémie du Covid, peut aussi entraîner une dynamique de renouveau.

Internet a joué un rôle discret mais profond dans l’élection présidentielle de 2017. La politique française a été ubérisée. L’amateurisme numérique des partis dominant traditionnels a contribué à leur élimination. A l’inverse, les candidats alternatifs et radicaux ont su exploiter l’effet de levier du web pour amplifier leurs campagnes et leurs résultats.

Un million de signatures ... et de données récoltées par change.org, la plateforme qui a beaucoup fait parler d'elle avec la pétition contre la loi El Khomri. Fleuron de cette économie numérique sociale, il n'en reste pas moins qu'on peut s'inquiéter d'une certaine opacité.

"Aujourd'hui, le point le plus crucial est de faire travailler ensemble les start-up et les grands groupes établis, afin que le numérique se diffuse dans l'ensemble de notre économie", a déclaré le 2 juin le ministre de l’Économie Emmanuel Macron.

Yann Galut propose de retirer la nationalité aux exilés fiscaux. Jérôme Lambert propose d’exproprier Gérard Depardieu de ses biens. Ces délires populistes de députés en mal de médiatisation illustrent une inquiétante dérive des esprits.

Metallica n'a pas sorti un album digne de lui depuis 20 ans mais ça ne l'empêchera sans doute pas de remplir le Stade de France samedi. Le rock est devenu vieux et fonctionne aujourd'hui davantage à la nostalgie qu'à la créativité. Sad but true…

Les idées libérales sont décriées par l'ensemble des candidats à la présidentielle de mai prochain. Pourtant, pour sortir la France de la crise, le libéralisme devrait s'imposer au président élu, quelque soit son origine partisane.

Arnaud Dassier qui souhaite se présenter aux législatives dans le Loiret a décidé de quitter l'UMP suite aux difficultés rencontrées dans sa quête d'une investiture. L'occasion pour lui de réfléchir aux défauts d'un système français verrouillé et sclérosé, incapable de se renouveler avec du sang neuf.

La polémique entre l'UMP et le PS sur le devenir des informations personnelles amassées lors de la primaire montre l'importance des bases de données dans la pratique politique d'aujourd'hui.

L’organisation d’un eG20 illustre la récente prise de conscience par l’Elysée de l’importance politique et économique de l’internet. Après avoir dressé un constat cinglant l’an passé sur "Sarkozy : le Président low tech", Arnaud Dassier fait aujourd’hui le point sur les changements en cours.

Face à la dépression française et à la souffrance sociale de millions de français, qu’il est triste de voir les « responsables » politiques réduire l’analyse des causes du vote FN à la lepénisation de l’UMP et la solution à un front républicain, démarche politicienne au mieux inutile et au pire contre-productive.

Ben Ali parti, la Tunisie se reconstruit. Reste à ne pas aller trop loin.

Pour se reconstruire, la Tunisie devrait considérer la "révolution orange" ukrainienne. Un bel exemple d'espoir déçu...