Même si la pauvreté ne prend pas de vacances, concentrer les aides l’hiver reste la politique la plus rationnelle

Les beaux jours sont synonymes de vacances et de soleil pour la majorité de la population. Pour une autre partie, les précaires et les SDF, elle est associée à la galère. Entre fermeture d'associations et réduction du nombre de logements, l'été est la période la plus difficile pour ces populations.

avec Julien Damon

Julien Damon

Julien Damon est professeur associé à Sciences Po, enseignant à HEC et chroniqueur au Échos. Il a été, en particulier, responsable de la Mission Solidarité de la SNCF, sous directeur à la Caisse nationale des Allocations Familiales (CNAF), chef du service Questions sociales au Centre d’Analyse Stratégique, rapporteur général du Grenelle de l’Insertion.

Fondateur de la société de conseil Eclairs, il a publié, récemment, Questions sociales : analyses anglo-saxonnes. Socialement incorrect ? (PUF, 2009), Questions sociales et questions urbaines (PUF, 2010), Les familles recomposées (PUF, 2012), Intérêt Général : que peut l’entreprise ? (Les Belles Lettres), Les classes moyennes (PUF, 2013)

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Même si la pauvreté ne prend pas de vacances, concentrer les aides l’hiver reste la politique la plus rationnelle

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Mots-Clés

SDF , précarité , démunis , sans-abri , pauvreté , Logement , association , été

Thématiques

Social Consommation Société France Economie

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