Contenus en rapport avec le mot-clé SNES
Culpabilisation à grande échelle
Plus urgent que le vote de l'interdiction du voile en sorties scolaires, le combat contre un anti-racisme dévoyé
Le SNES-FSU Créteil a indiqué dans un communiqué que Jean-Michel Blanquer alimenterait un "climat raciste" au sein de l'Education nationale. Le ministre avait récemment évoqué le sujet du voile. Certaines structures tentent-elles d'imposer un antiracisme dévoyé dans l'Education nationale ?
Vraie laïcité
Election du prêtre Michel Deneken à la Présidence de l'Université de Strasbourg : l'expression des dérives de la laïcité ?
Élu ce mardi 13 décembre à la tête de l'université de Strasbourg, Michel Deneken est professeur de théologie et prêtre. Ce dernier point lui a valu de sévères attaques au nom de la laïcité.
Sur les bancs de l'école
L’école publique, cet instrument de domination au service des élites
Un récent rapport du Conseil National de l’Évaluation du Système Scolaire (CNESCO) dresse un portrait éloquent des lacunes du système d'éducation publique en France.
L'école des cancres
Ecole : La concertation, c’est maintenant. Le changement, c’est (après...) demain
Pour François Hollande, il va rapidement être temps de s'attaquer à l'Education nationale. L'école est en effet l'un des gros morceaux de la campagne du président élu. Les choses semblent pourtant mal parties, les socialistes souhaitant entamer leurs réformes par un dialogue avec les syndicats les plus réfractaires à toute évolution.
Élève Ducobu
Les inconvénients cachés de la proposition de Nicolas Sarkozy pour faire travailler plus les profs
Nicolas Sarkozy propose d'augmenter de 500 euros par mois le salaire des professeurs qui accepteraient d'être présents 26 heures hebdomadaires au lieu de 18 à l'école. Les enseignants peuvent-ils vraiment l'accepter ? Combien cela coûterait-il ?
Tous ensemble, tous ensemble ! Ouais !
Oui, il faut évaluer les profs (et ce sera un progrès pour eux) !
Grève dans l'éducation nationale ce mardi. En jeu notamment, l'évaluation des professeurs que la quasi-totalité des syndicats rejette. Une mesure qui pourrait pourtant leur permettre de faire face à un formalisme bureaucratique qui ignore le contexte dans lequel ils travaillent.