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Le nouveau premier ministre met en garde contre «le mur de verre qui s’est construit entre les citoyens et les pouvoirs».

Selon "Le Parisien", le premier ministre démissionnaire va mettre à jour son livre "120 leçons de vie", afin d'y raconter son expérience à Matignon.

Près de la moitié du pays (46%) le tient ainsi responsable de l’instabilité actuelle, loin devant le RN (11%) et le Nouveau Front populaire (10%) qui ont pourtant voté la motion de censure.

Emmanuel Macron s'est adressé aux Français, ce jeudi 5 décembre, au lendemain de la censure du gouvernement de Michel Barnier. Il a notamment assuré qu'il accomplirait son mandat « jusqu'au bout ».

Le gouvernement de Michel Barnier a été renversé par une motion de censure, et doit donc démissionner.

Si les députés censurent mercredi soir le gouvernement de Michel Barnier, celui-ci deviendra démissionnaire et disposera d’un pouvoir restreint pour gérer les affaires courantes.

Jean-Sébastien Ferjou était l’invité de Punchline sur CNEWS ce mardi 3 décembre. « L’idée d’un gouvernement de gauche est une fiction. Il y a une autre illusion, on ne peut pas barrer d’un trait de plume quasiment 40 ou 50% des électeurs français, qu’il s’agisse du RN comme des Insoumis », a déclaré le directeur d’Atlantico.

Après la décision de Marine Le Pen et du RN de voter la motion de censure du NFP, Sophie de Menthon demande à Marine Le Pen de revenir sur ce "coup de tête".

Le premier ministre s’est exprimé ce mardi dans l’hémicycle sur les deux motions de censures qui seront débattues demain, et qui risquent de faire tomber son gouvernement.

«Je ne croyais pas qu’elle oserait», a lâché Michel Barnier lundi après une conversation téléphonique avec Marine Le Pen bien décidée à voter la censure, a raconté mardi un président de groupe du bloc central.

L’essayiste Sabrina Medjebeur était l’invitée de Midi News, ce mardi 3 décembre, sur CNEWS. Elle s’est exprimée sur la volonté de Marine Le Pen de voter une motion de censure contre le gouvernement de Michel Barnier : «Elle est dans la critique de la motion de censure déposée par l’extrême gauche au regard du contenu qui viserait le Rassemblement national».

Dans le texte auquel le parti de Marine Le Pen a dit vouloir se joindre, le Nouveau Front Populaire accuse Michel Barnier d’avoir « cédé (aux) plus viles obsessions » du Rassemblement national.

Le Sénat et sa majorité de droite et du centre ont adopté une mesure sensible en réduisant l’AME de 200 millions d’euros, sur un total de 1,3 milliard, soutenant ainsi l’exécutif.

Ce mardi matin, sur franceinfo, la patronne des Écologistes a vivement critiqué la "politique injuste" menée par le gouvernement Barnier, qui fait l'objet de deux motions de censure.

Le Premier ministre Michel Barnier a confirmé le déclenchement de l’article 49.3 de la Constitution pour adopter le projet de loi de finances de la Sécurité sociale pour 2025 dans la version qui résulte des travaux de la Commission mixte paritaire, sans vote des députés : «J’engage la responsabilité de mon gouvernement sur le PLFSS pour 2025 sur la version résultant des travaux de la Commission mixte paritaire».

Au-delà de l’exaspération et de la consternation du contribuable que nous sommes tous, le débat sur le budget 2025 a ceci d’intéressant qu’il agit comme un formidable révélateur de l’un des pires aspects du mal français.

Dans moins de 24 heures, on saura si la France aura un budget et si le gouvernement Barnier sera encore debout. Alors que personne n’a objectivement intérêt à une nouvelle crise politique qui engendrerait le chaos économique et financier.

Michel Barnier a mis fin “au cycle des négociations” avec le Rassemblement national, a fait savoir Jordan Bardella. Dès lors, la possibilité d’une censure du gouvernement se précise.

Le risque de motion de censure du gouvernement français se profile. Avec quelles conséquences ?

Le Rassemblement national maintient sa menace de voter la censure la semaine prochaine sur le budget de la Sécurité sociale car «le gouvernement ne semble pas vouloir bouger», a affirmé samedi aux Echos le député Jean-Philippe Tanguy, spécialiste des questions économiques du RN.