Alors que les mesures pour lutter contre le coronavirus sont de plus en plus drastiques, comment faire pour choisir idéalement les personnes que nous devons intégrer dans nos cercles restreints ?

Chercher éperdument le bonheur conduirait tout droit à la case malheur.

Pour certains, les vacances ont déjà commencé et il est enfin l'heure de prendre du bon temps. Afin d'éviter que les congés ne soient source de désillusions, certaines études scientifiques nous aident à en profiter au maximum.

Après les belles années de la vingtaine, les chers amis ont tendance à s'éloigner, se faire rare, se fâcher. Mais il ne faut pas s'en inquiéter : un nouvel âge de la vie demande à réapprendre à estimer l'amitié.

Deux chercheurs psychologues de l'Université de Floride viennent de publier une étude révélant qu'avoir une passion, c'est bien, mais que si elle n'est pas assouvie elle peut représenter un immense fardeau et engendrer des conséquences tant psychiques que physiques.

Inutile de dépenser toute votre épargne pour chercher le soleil ou de se doter de la combinaison de ski dernier cri pour passer les meilleures vacances possibles. Différentes études scientifiques prouvent que pour être le plus heureux, seuls les besoin élémentaires de sécurité et de la volonté sont nécessaires.

"Faisons baisser le chômage, on fera baisser le FN", c'est la maxime politique lancée par Jean-Pierre Raffarin sur dans la matinale d'Europe 1. Mais si la question posée par le FN était si simple à comprendre, le sujet aurait déjà été réglé depuis longtemps...

Afin d'éviter que les congés ne soient source de désillusions, certaines études scientifiques nous aident à en profiter au maximum.

La génération Y, celle qui a grandi dans les années 2000, semble peiner à rentrer dans la vie adulte en repoussant les décisions sérieuses jusqu'à la trentaine.

Roumanie, Colombie et Algérie occupent respectivement les première, deuxième et quatrième place d'un classement des enfants les plus heureux du monde, selon la nouvelle étude de la Jacobs Foundation, menée sur 53 000 enfants de 15 différents pays.

Sur l'échelle du bonheur, les Français occupent la 29e place mondiale. Mauvais score, pour l'un des pays les plus développés... Il en faut pourtant peu pour être heureux : Atlantico a demandé quelques conseils à Florence Servan-Schreiber, auteur de "Trois kifs par jours et autres rituels recommandés par la science pour cultiver le bonheur".

Au cours d'une vie, les deux périodes de plus grand bonheur se situeraient autour de la vingtaine et de la soixantaine. Reste à savoir ce qui se passe pendant la quarantaine d'années qui les sépare...