Le PSOE, mené par le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez, s'est imposé aux législatives espagnoles avec 29% des voix. Le parti d'extrême-droite Vox fait une perçée en obtenant 24 sièges.
29 avril 2019Le Réseau Atlantico
Best-Of du 9 au 15 novembre
Bernard Bessière, professeur émérite d'Aix-Marseille Université, est spécialiste de l'histoire et de la culture de l'Espagne contemporaine. Il a publié récemment avec Bartolomé Bennassar : Espagne : histoire, société, culture, Paris, La Découverte, 2017,[3e édition mise à jour]
Le PSOE, mené par le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez, s'est imposé aux législatives espagnoles avec 29% des voix. Le parti d'extrême-droite Vox fait une perçée en obtenant 24 sièges.
Un chaos institutionnel guette l'Espagne alors que le gouvernement catalan a annoncé un référendum sur sécession de la Catalogne. Mais leurs chances de réussite sont amoindries, alors que l'indépendantisme perd de sa popularité dans la région...
L'Eglise catholique et le ministère espagnol de la santé consent à ouvrir ses archives à ceux qui pensent qu'un membre de leur famille a été volée sous le règne du Général Franco. Cette pratique répandue consistait à purger les femmes républicaines trop proches des communistes et des anarchistes pendant la guerre civile.
L'Espagne vit des heures sombres : faiblesse physique du Juan Carlos, inculpation de l'infante Cristina pour corruption, 62 % des Espagnols souhaitant que le roi abdique… Focus sur l'état de la monarchie espagnole.
Favori des sondages en 2004, Aznar aurait perdu les élections législatives au dernier moment pour ne pas avoir su gérer les attentats islamistes de Madrid. 7 ans plus tard et avec une opposition qui ne semble guère plus crédible que le pouvoir sortant, comment Zapatero a-il perdu la main ?
Élections législatives ce dimanche en Espagne. José Luis Zapatero ne se représente pas et le candidat de droite Mariano Rajoy devrait, sauf immense surprise, lui succéder. Il devra gérer une situation délicate. Bilan du zapatérisme.