Ouverture d'une enquête judiciaire après une accusation de viol à l'Elysée, un militaire a été placé sous le statut de témoin assisté<!-- --> | Atlantico.fr
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Une vue de l'Elysée. Une militaire de l’Elysée accuse un autre militaire de viol, selon des révélations de Libération.
Une vue de l'Elysée. Une militaire de l’Elysée accuse un autre militaire de viol, selon des révélations de Libération.
©LUDOVIC MARIN / AFP

Investigations

Une militaire a porté plainte, le 1er juillet 2021, au commissariat du 8e arrondissement de Paris pour des faits qui se sont déroulés au palais de l'Elysée. Un militaire serait à l'origine de cette agression.

Une militaire de l’Elysée accuse un autre militaire de viol, selon des révélations de Libération. Une enquête judiciaire a été ouverte le 12 juillet. Une information judiciaire pour "viol" a été ouverte après des accusations d’une militaire de l’Elysée contre un autre militaire. Ce dernier a été placé sous le statut intermédiaire de témoin assisté, selon l’AFP de source judiciaire.
Selon cette source, "les investigations sont toujours en cours" et le militaire mis en cause "a été placé" le 12 juillet à l’issue de son interrogatoire devant le juge d’instruction "sous le statut de témoin assisté". 
Selon Libération, les faits se seraient produits dans des locaux de l’état-major particulier de l’Elysée le 1er juillet, en marge d’un pot de départ de trois collaborateurs, et bien après le départ d'Emmanuel Macron qui avait prononcé un discours en début de soirée.
D'après Libération, "une jeune militaire, qui assistait auparavant au pot de départ, dit s’être vue imposer des violences sexuelles par un homme, lui aussi militaire" et "sous-officier. Les deux militaires sont affectés à l’état-major particulier, travaillent ensemble au quotidien et se connaissent".
La militaire aurait déposé "dans les heures qui ont suivi" une main courante au commissariat du VIIIe arrondissement. 
L’Elysée a précisé à l’AFP que "dès que les faits ont été portés à la connaissance des autorités, des mesures ont immédiatement été prises : écoute, soutien et accompagnement de la victime, affectation immédiate, loin de l’Élysée, de la personne incriminée".
Libération

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