« Annus horribilis », avait dit de cette année 1992 où les catastrophes s’étaient accumulées sur les Windsor la Reine Élisabeth II. Au moment de tourner la page de 2024, c’est sans doute ce que pourrait dire, non pas Emmanuel Macron, qui, contrairement à la souveraine, aura joué les boutefeux avec une incroyable arrogance, mais tous ceux qui sont attachés à une lecture gaullienne de notre Constitution et à la place éminente de la présidence de la République.
29 décembre 2024