Contenus en rapport avec le mot-clé néo-féminisme
Victime de viol
Claire : « Ces personnes clament la sororité, au final on se sent très très seule »
Victime de viol, Claire était l’invitée de La Matinale ce lundi 22 janvier sur CNEWS. Elle s’est exprimé au sujet du soutien des associations féministes après son agression par un individu sous OQTF : «Ces personnes clament la sororité, au final on se sent très très seule»
Bonnes feuilles
Le néo-féminisme, une idéologie totalitaire ?
Jean Gabard publie « Le néo-féminisme contre la famille » aux Editions de Paris Max Chaleil. L'immense majorité de la population de nos pays est prête à mettre fin au sexisme subsistant dans la société patriarcale et soutient le mouvement de libération des femmes. Mais les néo-féministes veulent imposer leur nouvelle idéologie et avancent des revendications extrémistes. Extrait 2/2.
Elles ont osé
Il ne faut plus dire "mes hommages Madame" mais "mes femmages Madame" !
La novlangue est en marche. Et elle avance à marche forcée.
Bonnes feuilles
De plus en plus rose pour les filles, et toujours bleu pour les garçons : bien loin des préoccupations du néo-féminisme, comment le marché du jouet en pleine régression avilit les âmes avant de formater les sexes
Abolir la prostitution, mais autoriser la GPA. Supprimer la différence des genres, mais exiger l’égalité des fonctions. Réclamer l’abolition de la maternité, mais accepter l’imposition du voile. Se proclamer progressiste, mais enchaîner la condition féminine au marché… Soixante-dix ans après Simone de Beauvoir, Eugénie Bastié dévoile ici la misère du néo-féminisme contemporain. Extrait de "Adieu mademoiselle", publié aux éditions du Cerf (2/2).
Bonnes feuilles
"Adieu mademoiselle" : pourquoi les périls qui menacent vraiment les femmes d’aujourd’hui sont ignorés (quand ils ne sont pas promus) par un néo-féminisme devenu orwellien
Abolir la prostitution, mais autoriser la GPA. Supprimer la différence des genres, mais exiger l’égalité des fonctions. Réclamer l’abolition de la maternité, mais accepter l’imposition du voile. Se proclamer progressiste, mais enchaîner la condition féminine au Marché… Soixante-dix ans après Simone de Beauvoir, Eugénie Bastié dévoile ici la misère du néoféminisme contemporain. Extrait de "Adieu mademoiselle", publié aux éditions du Cerf (1/2).