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Alors que le prix du pétrole se rapproche de ses records historiques, l’Allemagne appelle l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole à produire davantage pour enrayer la flambée des prix

Le pétrole à 100 dollars le baril ? Pourquoi pas ? Le Brent est actuellement au-dessus de 67$ le baril (159 litres) contre 19$ fin avril 2020. Une belle remontée qui pourrait continuer, malgré la pandémie.

Les cours du Brent ont franchi la barre des 80$ ce lundi 24 septembre alors que les groupes de négoce Trafigura et Mercuria ont pu faire état d'une prévision d'un baril à 100$ pour le début de l'année 2019.

Le prix du baril de pétrole a connu une hausse dernièrement après de ans de baisse. L'économie en a profité pour connaitre une période de croissance par une baisse des taux d'intérêt. De l'instabilité pourrait revenir.

La sur-production de pétrole, ajoutée à une demande mondiale en baisse, implique que le prix de l'or noir a atteint son plus bas niveau en août. Il serait amené à diminuer davantage selon le groupe Goldman Sachs, jusqu'à 20 $ le baril.

Rififi à l'OPEP : les anciennes puissances sont en train de céder la place à un nouvel ordre pétrolier... et le prix du baril s'en ressent.

Les pays membres de l'OPEP gardent un oeil anxieux sur la chute des prix du baril de pétrole : depuis le début de l’année, les cours du brent sont tombés en-dessous de 100 dollars le baril alors qu’ils avaient dépassé 125 dollars au début du printemps.

Baisse de la demande à cause de la crise de la zone euro ou encore apaisement des tensions avec l'Iran ... Le prix du Brent est actuellement en baisse à 105 dollars contre plus de 120 dollars il y a quelques semaines. Malgré tout, ce prix reste toujours quatre fois plus élevé qu’il y a dix ans. Idem, pour le litre d’essence...

Avec le boom de la production pétrolière aux États-Unis due principalement au pétrole de schiste, certains observateurs pensent que le prix du pétrole pourrait se retourner. Erreur, car le marché du pétrole n’est pas un marché comme les autres.

Et si revendre l'essence à perte était la solution pour stopper la spirale haussière du prix à la pompe ? Troisième épisode de notre série consacrée à la relance du pouvoir d'achat.

Les deux favoris à l'élection présidentielle se sont affrontés mardi sur la nécessité de bloquer ou non le prix de l'essence. Si l'histoire nous enseigne qu'une taxe flottante n'est pas la solution, un meilleur partage des taxes entre producteurs et consommateurs reste possible.

Les prix à la pompe battent des records.... alors même que le prix du baril est moins cher qu’en 2008 ! En cause : les coûts d'exploitation des gisements.

L'Iran a annoncé une baisse de ses exportations de pétrole vers l'Europe. Résultat : les cours du pétrole brut de Mer du Nord frôlaient à nouveau la barre des 120 dollars mercredi. Et demain ?

Suite aux menaces d'embargo sur l'Iran, Téhéran assure que ce serait un suicide économique tandis que Washington jure pouvoir se passer du pétrole iranien. L'Arabie Saoudite estime pouvoir répondre à la demande en poussant sa production au maximum. Une situation extrême qui entraîneraient surtout des tensions sur les prix de l'énergie.