Certains prénoms comme Sarah, Nicolas, Julie ou Pierre sont très répandus dans la société. Cela peut ne pas être une mauvaise chose dans la vie d'un enfant. Avoir un prénom classique peut être un avantage pour trouver un travail.
12 mai 2017Le Réseau Atlantico
Best-Of du 20 au 26 juillet
Stéphanie Rapoport est l’auteur de l'Officiel des prénoms ainsi que d’autres publications sur les prénoms. Elle anime le site meilleursprenoms.com.
Certains prénoms comme Sarah, Nicolas, Julie ou Pierre sont très répandus dans la société. Cela peut ne pas être une mauvaise chose dans la vie d'un enfant. Avoir un prénom classique peut être un avantage pour trouver un travail.
Sommes-nous prédéterminés socialement dans le choix des prénoms que nous donnons à nos enfants ? Sommes-nous capables, au contraire, de nous affranchir des règles et des codes qui régissent notre milieu ? Troisième épisode de notre série sur les marqueurs sociaux.
George Alexander Louis, c'est ainsi que s'appelle le "Royal baby" que célèbre tout le royaume britannique. Trois prénoms chargés d'histoire qui révèlent l'espoir d'un destin prestigieux.
Le choix du prénom conditionne en grande partie la vision que l'on a de soi-même, car ne pas aimer son prénom, c'est se détester.
Alain d'Iribarne est ancien directeur du département scientifique des SHS du CNRS et ancien administrateur de la FMSH.
Damien Ernst est professeur titulaire à l'Université de Liège et à Télécom Paris. Il dirige des recherches dédiées aux réseaux électriques intelligents. Il intervient régulièrement dans les médias sur les sujets liés à l'énergie.
Hugues Serraf est écrivain et journaliste. Son dernier roman : La vie, au fond, Intervalles, 2022
Maxime Tandonnet est essayiste et auteur de nombreux ouvrages historiques, dont Histoire des présidents de la République Perrin 2013, et André Tardieu, l'Incompris, Perrin 2019.
Hugo Spring-Ragain est Directeur adjoint du pôle politique du Millénaire, think-tank gaulliste spécialisé en politiques publiques