Avril 2014. Le ministère de l'Intérieur s'empare de la question épineuse de la prévention de la radicalisation avec la création du numéro vert "anti-djihad", dont la mission consiste à recueillir le signalement des personnes en voie de radicalisation. En annexe, une cellule de "déradicalisation" est créée, sous l'autorité de la préfecture de police de Paris, destinée à accompagner les familles ayant eu le courage de faire ce numéro. Pourquoi, un an plus tard, ce projet ambitieux connaîtra-t-il une fin brutale ? Extrait de "Cellule de déradicalisation" de Julien Revial, aux Editions Michalon 2/2
5 septembre 2016