Article cover

©

Le président syrien, Bachar al-Assad.

PROMIS, JURE, CRACHE

12 septembre 2013

Syrie : Bachar el-Assad confirme qu'il va placer ses armes chimiques sous contrôle international

"La Syrie place ses armes chimiques sous contrôle international à cause de la Russie", a déclaré le président syrien dans un entretien à la télévision russe.

Atlantico Rédaction

0:00min

100%

100%

Vu sur:

Lu sur Les Echos

MOTS-CLES

Bachar al-Assad , armes chimiques

THEMATIQUES

A PROPOS DES AUTEURS

Atlantico Rédaction

Populaires

1Cette étude qui montre que plus l’IA devient intelligente, moins elle risque de remplacer totalement nos emplois

2Ces musées consacrés au crimes du communisme dont les communistes ne veulent pas entendre parler

3Il n’y a qu’un seul pays développé au monde dont la natalité se maintienne : mais quel est donc son secret ?

4Souveraineté vs liberté d’expression : le match (très) nul dans lequel Etats-Unis ET Europe se prennent tout autant les pieds dans le tapis

5République au bord de la crise de nerfs : cette nouvelle France que révèle la tempête autour de la commission sur l’audiovisuel public

6Crise énergétique européenne : et si tout était résolu ?

7Le torchon brûle entre Paris et Berlin mais jusqu’où pourrait aller la colère de Merz ?

A PROPOS DES AUTEURS

Atlantico Rédaction

Populaires

1Cette étude qui montre que plus l’IA devient intelligente, moins elle risque de remplacer totalement nos emplois

2Ces musées consacrés au crimes du communisme dont les communistes ne veulent pas entendre parler

3Il n’y a qu’un seul pays développé au monde dont la natalité se maintienne : mais quel est donc son secret ?

4Souveraineté vs liberté d’expression : le match (très) nul dans lequel Etats-Unis ET Europe se prennent tout autant les pieds dans le tapis

5République au bord de la crise de nerfs : cette nouvelle France que révèle la tempête autour de la commission sur l’audiovisuel public

6Crise énergétique européenne : et si tout était résolu ?

7Le torchon brûle entre Paris et Berlin mais jusqu’où pourrait aller la colère de Merz ?