EPR de Flamanville : le Conseil d'Etat a rejeté la demande des ONG qui s’opposaient à sa mise en service<!-- --> | Atlantico.fr
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EPR de Flamanville nucléaire ONG Greenpeace
EPR de Flamanville nucléaire ONG Greenpeace
©CHARLY TRIBALLEAU / AFP

Nucléaire

Des ONG, dont Greenpeace et le réseau « Sortir du Nucléaire », qui étaient opposées à la mise en service de l'EPR de Flamanville ont été déboutées par le Conseil d'Etat.

Plusieurs associations, dont «Sortir du nucléaire», Greenpeace France ou France Nature Environnement, avaient annoncé un recours contre le décret pris en mars par le gouvernement permettant de repousser jusqu'en 2024 le délai maximal de mise en service de l'EPR de Flamanville. Le Conseil d'Etat vient de rejeter leur demande. 

Les ONG viennent de publier un communiqué : 

« Le 28 décembre, à la suite d'une audience du 23 décembre, le juge des référés du Conseil d'État a rejeté la demande de suspension des associations aux motifs qu'aucun des moyens soulevés, en l'état de l'instruction, n'est propre à créer un doute sérieux sur la légalité de l'autorisation délivrée par l'Autorité de sûreté nucléaire. La demande d'EDF, de condamner les associations à 4.000 euros pour les frais et dépens de la procédure, a toutefois, également été rejetée ».

La création du réacteur de nouvelle génération, qui a été victime de nombreux retards et surcoûts, avait été autorisée par un décret d'avril 2007 qui prévoyait alors un délai maximal de treize ans pour le chargement du combustible nucléaire. Ce délai avait par conséquent été atteint en avril.

Le Figaro

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