Assassinat du rugbyman Federico Martin Aramburu : le principal suspect a été interpellé en Hongrie ; un autre individu a été arrêté dans la Sarthe<!-- --> | Atlantico.fr
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Une photo prise le 19 octobre 2007 de Federico Martin Aramburu marquant un essai lors de la coupe du monde de rugby lors du match France - Argentine, au Parc des Princes à Paris.
Une photo prise le 19 octobre 2007 de Federico Martin Aramburu marquant un essai lors de la coupe du monde de rugby lors du match France - Argentine, au Parc des Princes à Paris.
©Paul ELLIS / AFP

Enquête en cours

Federico Martin Aramburu, ancien international argentin de rugby de 42 ans, a été tué par balles samedi à l'aube après une altercation dans un bar de Saint-Germain-des-Prés.

Loïk Le Priol, le principal suspect dans la mort samedi à Paris de l'ex-rugbyman Federico Martin Aramburu, a été interpellé en Hongrie, selon des informations de France Info ce mercredi 23 mars auprès du parquet de Paris. 

Ce suspect, âgé de 27 ans, est un ancien militaire et membre du mouvement d'extrême-droite GUD. Il est soupçonné d'avoir tiré sur l'ancien rugbyman qui est mort sur place. Il a été arrêté lors d'un contrôle effectué à une frontière alors qu'il circulait en voiture, et aurait indiqué son intention de se rendre en Ukraine, selon une source proche du dossier. 

Une jeune femme, soupçonnée d'avoir participé à l'homicide, a été mise en examen mardi pour "complicité d'assassinat" et placée en détention provisoire. Âgée de 24 ans, elle aurait conduit la voiture depuis laquelle deux hommes auraient tiré sur l'ancien international argentin sur un boulevard du 6e arrondissement.

Un troisième suspect a été interpellé, ce mercredi 23 mars, dans le cadre de l'enquête sur la mort le 19 mars à Paris de Federico Martin Aramburu. Ce troisième suspect a été arrêté dans la Sarthe, a appris franceinfo auprès d'une source judiciaire. 

Dans la matinée, le parquet avait annoncé l'arrestation de Loïk Le Priol, un ancien militaire et membre du mouvement d'extrême droite GUD, interpellé en Hongrie lors d'un contrôle avant la frontière ukrainienne.

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