Elle atteint des sommets
Sandrine Rousseau a pété un câble : elle appelle à la grève générale !
L’écolo féminisme mène à tout et surtout à la connerie…
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
La députée NUPES est en guerre. Elle applaudit des deux mains les grévistes des raffineries. Mais pour elle, ce n’est pas assez. Elle veut plus.
Donc elle aspire à ce que le mouvement s’élargisse à toute la France. Et elle appelle de ses vœux la grève générale. Qu'il nous soit permis de penser qu'elle ne va pas très bien dans sa pauvre tête. Le 16 octobre, elle participera à la marche contre la vie chère. Ne s’est-elle pas aperçue que les syndicats, y compris la CGT, refusent d’ y être.
Nous n'avons pas de sympathies particulières pour les syndicats mais ils ne sont pas idiots. La grève générale est un vieux fantasme archaïque auquel ils ne succombent pas.
Mais Sandrine Rousseau veut son grand soir ! Elle risque alors d’être bien seule. Qui l’aidera dans cette pathétique solitude à faire rôtir les patrons du CAC 40 sur un barbecue ?
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