« Les sextos peuvent être source de plaisir et de jouissance »<!-- --> | Atlantico.fr
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Des enfant de l'école communale Jean Jaurès de Mouscron font une dictée dans une salle de classe.
Des enfant de l'école communale Jean Jaurès de Mouscron font une dictée dans une salle de classe.
©FRANCOIS LO PRESTI / AFP

On enseigne ça dans les maternelles belges

Il est vrai qu’il faut commencer dès le plus jeune âge.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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L’organisme qui en fait la promotion s’appelle ERVAS. Il se donne pour mission d’aider les bambins à découvrir leur identité sexuelle. Certains de ces enfants sont, selon ERVAS, des transgenres qui s’ignorent. 

Il faut donc les aider à découvrir leur identité sexuelle. Agréé par l’Education nationale du royaume de Belgique, cet organisme s’y emploie. Ses éducateurs sont reçus dans les maternelles et les écoles primaires. Comme ils sont précautionneux, ils précisent que c’est à l’âge de 9 ans que se constituent « les corps femelles » et les « corps mâles ». 

ERVAS est plein de sollicitude à l’égard de ces petits corps. Ainsi, il est indiqué à leur attention que les « sextos peuvent être source des plaisir et de jouissance ». Les « corps mâles » et les « corps femelles » peuvent donc s’en donner à cœur joie sur leur portable. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Belgique !

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