L’UNESCO appelle l’Iran à ne pas amputer des condamnés !<!-- --> | Atlantico.fr
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L'UNESCO s'inquiète des décisions de la justice iranienne.
L'UNESCO s'inquiète des décisions de la justice iranienne.
©BERTRAND GUAY / AFP POOL / AFP

Choc des civilisations

Cette organisation internationale n’a aucune considération pour la charia…

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Huit condamnés pour cambriolage vont se voir amputés de quatre doigts de la main droite. Ce sera l’œuvre d’une petite guillotine. Elle a remplacé le sabre jugé insuffisant tant le nombre de doigts à couper était grand…

L’UNESCO s’en inquiète et appelle les mollahs à surseoir à cette pratique barbare. Mais elle est conforme à la charia qui est la loi suprême en Iran. La justice iranienne est en effet celle de Dieu !

On exécute aussi beaucoup là-bas. Plus de 100 personnes déjà cette année, 327 l’année précédente ! Modus operandi : la pendaison, souvent en public.

L’Iran, nous dira-t-on, est un pays souverain : charbonnier maître chez soi… Certes, mais ça ne peut nous empêcher de vomir. L’Iran siège aux Nations Unies et a un ambassadeur à Paris. Ce pays est donc jugé fréquentable. Ce n’est pas ce que nous pensons...

L’Iran cherche par tous les moyens à se doter de l’arme nucléaire. Un doigt sur le bouton rouge et c’est l’apocalypse. Nous savons quel doigt il faudrait couper…

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