Miam…
Et l’Ukraine gagna la bataille (du bortsch) contre la Russie !
La rumeur veut que Poutine, fou de rage, se soit bourré à la vodka.
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
L’Unesco vient d’inscrire le bortsch ukrainien au patrimoine immatériel de l’humanité. Pour y avoir goûté, nous savons que c’est bon. Cette soupe à base de betteraves vient aussi rejoindre notre célèbre baguette de pain, la pizza italienne.
Il y a aussi le couscous. Pour préserver la paix civile, nous nous abstiendrons de tout commentaire sur ce choix obligé. Deux bortschs étaient donc dans la compétition pour obtenir les faveurs de l’UNESCO : l’ukrainien et le russe. Nous avons déjà dit tout le bien que nous pensons du premier.
Quant au second, c’est franchement dégueulasse : ces rustres de Russes mettent des choux dedans. Une affreuse hérésie ! Quelques mots encore sur le bortsch polonais qui est de loin le meilleur. Il n’a pour autant pas été sélectionné par l’UNESCO. Il est vrai que la Pologne n’a pas été victime d’une invasion russe.
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