Politique31 décembre 2014
Sous pression
2014, l’année où les juridictions suprêmes françaises ont sombré dans le politiquement correct
Entre le refus du droit à l'objection de conscience pour les maires dans le cadre de l'application de la loi Taubira, la cessation de soins sur Vincent Lambert et la reconnaissance de l'adoption par des couples homosexuels d'enfants conçus à l'étranger par PMA, les Cours souveraines françaises ont surtout donnée l'impression de céder aux idéologies dites "progressistes".
2014, l’année où les juridictions suprêmes françaises ont sombré dans le politiquement correct
avecRoland Hureaux