Mot-clé «<!-- -->structure familiale<!-- -->» | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts

Contenus en rapport avec le mot-clé structure familiale

Tous les jeunes qui ne se retrouvent pas dans les valeurs de notre société ne tombent pas dans le djihad.

Bouées de détresse

La France sans repères : et sinon, sur tous ceux qui ne sombrent pas dans le djihadisme, quelles conséquences ?

Un rapport de Malek Boutih publié vendredi 3 juillet fait état du rejet des valeurs occidentales "molles" au profit d'une "solution globale" que représente le djihad. Pourtant, tous les jeunes ne tombent pas dans des logiques aussi radicalement en rejet de la société.

2015, l’année de la facture de l’éclatement de la famille française ?

Passage à la caisse

2015, l’année de la facture de l’éclatement de la famille française ?

La multiplication des vocations djihadistes sur le territoire, la croissance de l'isolement des personnes âgées et, fait nouveau, des jeunes, sont autant de problématiques observées en 2014 et qui trouvent leur réponse dans la fragmentation des liens familiaux et intergénérationnels.

Affiche de Mommy.

Démocratisation de la famille

"Mommy" "Lou !", même combat : consciemment ou non, des films qui ont éradiqué la figure du père

Alors que les structures familiales sont en pleine recomposition, le cinéma et plus largement le monde culturel et artistique se sont naturellement inspirés des nouveaux modèles et de la monoparentalité.

Il y a un certain discours "décadentiste" en France qui consiste à dire que "tout fout le camp".

Idée reçue ?

Y a-t-il un lien entre délinquance et familles monoparentales ?

L'opinion est souvent tentée d'expliquer la montée de l'insécurité et de la délinquance par l'éclatement de la famille dite "traditionnelle" et l'absence d'autorité. Un point de vue sur lequel s'accordent la plupart des chercheurs qui ont travaillé sur ce sujet.

Non, les jeunes ne sont pas tous des voyous, des victimes ou des assistés.

Tanguy, c'est fini

Une génération de jeunes pugnaces malgré une société française qui ne les voit que victimes ou dangereux

Près de la moitié des Français de moins de 35 ans auraient envie de créer leur entreprise, et autant chez les 18-24 ans.