Ils ont fait savoir lundi qu’ils attaqueraient tous ceux qui s’en prendraient à leur “ vie privée ”. Résultat : dans la presse, ce samedi, tout le monde semble les avoir oubliés. A l’heure où Anne Sinclair planche sur un livre "pour raconter sa version des faits ”, on s’interroge : qui a le droit de parler ?
25 novembre 2011