Quand le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, souhaite que "les jeunes français aient envie de devenir milliardaires", la gauche s'indigne. Et pourtant, des milliardaires ont aussi contribué au progrès social.
8 janvier 2015Le Réseau Atlantico
Best-Of du 30 novembre au 6 décembre
Philippe Villemus, après une carrière dans de grands groupes internationaux, en France et à l’étranger, a volontairement changé de vie pour devenir professeur et docteur en Sciences de Gestion à Sup de Co Montpellier. Il est également écrivain, chroniqueur (Midi Libre et France Bleu Hérault) et conférencier.
Il a travaillé, tant en France qu’à l’étranger, dans le groupe L’Oréal (de 1998 à 2003) comme président de Helena Rubinstein, à la Coupe du Monde de Football 1998 comme directeur marketing-ventes-partenariat (de 1994 à 1998), directeur marketing dans le groupe Mars (de 1988 à 1994), chef de produit dans le groupe Colgate Palmolive (de 1984 à 1988).
Parmi ses publications :
Quand le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, souhaite que "les jeunes français aient envie de devenir milliardaires", la gauche s'indigne. Et pourtant, des milliardaires ont aussi contribué au progrès social.
En 2011, les foyers parisiens ont déclaré en moyenne 37 764 euros de revenus, soit 14 000 euros de plus que la moyenne nationale.
Si le monde compte 1 426 milliardaires en 2013, soit 200 de plus que l'année précédente, les Français présentent un profil bien particulier.
Les Anglais aux faibles revenus seraient plus de 80% à ne pas pouvoir s'acquitter de leurs impôts locaux en 2013. En France, le taux d'imposition pourrait également être difficile à supporter pour ces ménages.
Matignon et les députés UMP se sont mis d'accord mardi pour taxer les revenus à 250 000 euros par an à 3% et ceux qui dépassent les 500 000 euros à 4%. Un effort est ainsi demandé aux plus fortunés car avec la crise les inégalités ne cessent d'augmenter...