Tuerie au Canada : un suspect a été retrouvé mort, son frère est toujours en fuite <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Crédits Photo: Capture d'écran DR
Un des suspects est toujours recherché au Canada après les attaques à l'arme blanche ayant fait une dizaine de victimes.

Dizaine de victimes

Tuerie au Canada : un suspect a été retrouvé mort, son frère est toujours en fuite

Deux frères sont suspectés d'avoir tué 10 personnes à l'arme blanche et d'en avoir blessé 18 autres au Canada, dimanche dernier.

Nouveau rebondissement dans la tuerie qui a plongé le Canada dans l'effroi. L'un des deux suspects a été retrouvé mort dans l'une des localités où se sont déroulés les meurtres dimanche, selon des informations d'Euronews.

Le corps a été découvert avec plusieurs "blessures visibles". Selon la police, il pourrait avoir été tué par son frère, Myles, toujours recherché.

Des centaines de policiers sont toujours à la recherche de l’un des suspects, et les autorités canadiennes demandent à la population de la province de Saskatchewan de rester très vigilante.

Les deux frères sont suspectés d'avoir tué dimanche 10 personnes à l'arme blanche et d'en avoir blessé 18 autres, dans plusieurs localités reculées de cette province du centre-ouest du pays. Les meurtres ont touché une communauté autochtone à James Smith Cree Nation et la ville voisine de Weldon dans la Saskatchewan, grande province rurale très peu peuplée.

Selon la police, qui n'a pas donné de détails sur leurs identités, certaines victimes ont été ciblées par les suspects et d'autres ont été attaquées au hasard. Parmi les premières identifiées par les médias canadiens figurent un retraité de 77 ans, une femme secouriste et son neveu de 14 ans.

La majorité des victimes sont autochtones. Au Canada, ces derniers représentent environ 5% des 38 millions d'habitants, et vivent dans des communautés souvent ravagées par le chômage et la pauvreté.

Pour l'heure, le motif réel de cette tuerie reste inexpliqué.

Euronews

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !