Brésil : des détenus se filment en train de s'évader et postent leur "exploit" sur les réseaux sociaux<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Crédits Photo: Capture d'écran
Cet homme est l'un des détenus activement recherché par la police brésilienne

Les rois de l'évasion

Brésil : des détenus se filment en train de s'évader et postent leur "exploit" sur les réseaux sociaux

Au total, treize personnes ont réussi à s'échapper en creusant un tunnel pour quitter leur cellule, filmant leur fuite avec un téléphone portable.

"On se tire d'ici... le voleur creuse comme un tatou et ça va marcher... ça marche !". Ces mots sont ceux de l'un des treize détenus qui ont réussi à s'évader prison de l'État de Goias, à 450 kilomètres de Brasilia. Une évasion qui fait grand bruit au Brésil et au-delà car les prisonniers ont filmé leur fuite avec un portable et posté les images sur les réseaux sociaux. Ainsi sur des images vidéo publiées vendredi par le site G1 de Globo, et relayées par Le Parisien, on voit deux ou trois détenus à l'intérieur de l'étroit tunnel qu'ils ont creusé à partir des toilettes de leur cellule 

Le tunnel ressort dans le potager de la prison, devant la rue, et on les voit sauter le mur sur les caméras de surveillance. D'après la police, ils n'ont pas eu de mal à creuser le tunnel, car la terre est friable comme du sable. Ils ont dû en avoir pour quatre jours, a-t-elle précisé. "Ils prenaient ce sable et le mettaient dans leurs taies d'oreillers ou leurs draps qu'ils cachaient ensuite sous les lits", a expliqué la commissaire de Rio Verde (État de Goias), Jacqueline Camargo Machado. Selon elle, la dernière fouille dans la cellule remonte à deux mois et les détenus ont eu toute la tranquillité du monde pour agir. 

lu sur Le Parisien

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !