En 1944, les GI's ne baisaient pas toujours que la main des dames

Découvrir en 2014 que le guerrier ne se contente pas toujours de ne baiser que la main des dames est selon la presse un exploit qu’il fallait saluer. C'est du moins ce que laissent entendre les critiques curieusement enthousiastes faites au livre de Mary Louise Roberts, "Des GI’s et des femmes". Une critique du journal "Service littéraire".

avec Christian Millau

Christian Millau

Grand reporter, critique littéraire notamment pour le journal Service Littéraire, satiriste, Christian Millau est aussi écrivain.

Parmi ses parutions les plus récentes : Au galop des hussards (Grand prix de l'Académie française de la biographie et prix Joseph-Kessel), Bons baisers du goulag et aux éditions du Rocher, Le Petit Roman du vin, Journal impoli (prix du livre incorrect 2011), Journal d'un mauvais Français (21 avril 2012) et Dictionnaire d'un peu tout et n'importe quoi (Rocher, 2013)

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En 1944, les GI's ne baisaient pas toujours que la main des dames

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seconde guerre mondiale , Débarquement , 1944 , Des GI’s et des femmes , Mary Louise Roberts

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