Elections législatives : Jean-Luc Mélenchon lance le "parlement de la Nupes" <!-- --> | Atlantico.fr
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Jean-Luc Mélenchon a officiellement lancé le parlement de la Nupes dans le cadre de la campagne des élections législatives.
Jean-Luc Mélenchon a officiellement lancé le parlement de la Nupes dans le cadre de la campagne des élections législatives.
©STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Programme et stratégie

Selon le leader de La France insoumise, ce "parlement" permettra une "implication populaire de masse". Les questions du programme et de la stratégie pour la campagne des législatives seront notamment au coeur des travaux de cette instance.

Jean-Luc Mélenchon a lancé lundi le "parlement de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale" (Nupes) pour favoriser "l’implication populaire de masse". 

Ce Parlement se veut le prolongement de l’espace de discussion sur la stratégie et le programme qu’était déjà le "Parlement de l’union populaire" pendant la campagne de l'élection présidentielle. Sa présidente Aurélie Trouvé, ancienne d’Attac, sera à sa tête, selon des informations du Parisien.

Jean-Luc Mélenchon estime que "le parlement est une nécessité" :

"Il est impossible de changer la société aussi fondamentalement que nous en avons l’ambition sans une implication populaire de masse. (...) Je souhaite de toutes mes forces que le (parlement) continue", soit "constructif et insolent envers le pouvoir même si c’est nous qui l’exerçons ".

Jean-Luc Mélenchon a rappelé l'importance des élections législatives :  

"Mais vous déciderez, ce n’est que dans 15 jours que tout ça prendra fin". 

Selon certains sondages, la Nupes deviendrait la deuxième formation à l’Assemblée nationale avec 165 à 195 sièges.

Selon Aurélie Trouvé, ce parlement a vocation à "construire une culture politique commune pour gagner la bataille culturelle, partout où on peut faire reculer le règne de l’argent et faire primer l’humain".

Elle sera accompagnée de vice-présidentes qui représentent les partis alliés à LFI, l’eurodéputée EELV Marie Toussaint, la numéro 2 du PS Corinne Narassiguin, la cheffe des sénateurs communistes Éliane Assassi, la cheffe de Générations Sophie Taillé-Polian et l’eurodéputée LFI Manon Aubry. Le député insoumis Éric Coquerel est aussi vice-président.

Le parlement, qui comptait jusque-là quelque 300 membres, s’est élargi à 500 participants.

Le Parisien

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