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Crash de l'A321 dans le Sinaï : les Américains apportent de nouvelles informations aux enquêteurs
©Mohamed Abd El Ghany/Reuters

Nouveau rebondissement

Les communications étaient tout à fait normales entre les personnels jusqu'à 4 minutes avant le drame selon une source égyptienne.

Cinq jour après le terrible crash de l'A321 russe dans la préninsule du Sinaï en Egypte, les enquêteurs continuent à chercher des indices pour définir les circonstances de ce drame. La priorité : vérifier si la branche égyptienne de l'Etat islamique est à l'origine de cet accident aérien qui a couté la vie à 224 personnes, comme le revendiquait le groupe terroriste quelques heures après la catastrophe.

Alors que les enquêteurs ont déjà confirmé que l'avion s'était disloqué en vol et non après avoir touché le sol, de nouvelles informations ont été apportées par les Etats-Unis mardi 3 novembre : un satellite militaire américain aurait en effet détecté un flash de chaleur au niveau de l'avion lors de drame, celui-ci pouvant parfaitement correspondre à une explosion de l'une des parties de l'Airbus. Impossible cependant de savoir s'il s'agit d'une défaillance technique ou d'une explosion à caractère criminelle.
Selon une source égyptienne (citée par France tv infos) qui aurait eu accès aux premiers enregistrements de l'une des boites noires, les communications des personnels auraient été tout à fait normales jusqu'à 4 minutes avant la catastrophe. Des bruits inhabituels auraient tout de même été entendus.

Les équipes françaises, allemandes, égyptiennes et russes, passent au crible les 15 à 20km de diamètre autour des principales carcasses de l'appareil, à la recherche d'explosifs éventuels. Car si l'Etat islamique n'était pas équipé d'armes assez puissantes pour toucher un avion en plein vol, le groupe extrémiste aurait tout aussi bien pu saboter l'appareil ou faire monter un djihadiste kamikaze à bord.

Lu sur France tv Infos

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