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Bygmalion : les derniers recours de Nicolas Sarkozy et des autres mis en examen rejetés par la cour d'Appel de Paris
©IAN LANGSDON / POOL / AFP

Justice

L’ancien chef de l'Etat pourrait être renvoyé devant le tribunal correctionnel pour le délit de financement illégal de campagne électorale.

La menace d'un procès se précise un peu plus pour Nicolas Sarkozy dans l'affaire Bygmalion. Ce jeudi, les derniers recours de l'ancien chef de l'Etat et des autres accusés ont été rejetés par la cour d'appel de Paris, ont annoncé leurs avocats. La dernière possibilité avant que les juges ne se décident sur la tenue d'un procès est un pourvoi en cassation. Selon une journaliste, ce pourvoi est probable.

Le risque est sérieux pour Nicolas Sarkozy, grand perdant de la dernière primaire de la droite et du centre, où il est arrivé en troisième position. Car l'ancien président de la République est directement menacé par cette affaire : si les juges d'instruction décident de suivre les réquisitions du parquet de Paris, il serait renvoyé devant le tribunal correctionnel pour le délit de financement illégal de campagne électoral.

La tentaculaire enquête sur Bygmalion s'intéresse à un vaste système de fausses factures attribué. Le système avait pour but de dissimuler un important dépassement de plafond de dépenses. Si Nicolas Sarkozy n'est pas poursuivi pour en avoir eu connaissance, la justice le soupçonne d'avoir engagé des dépenses supplémentaires, alors qu'il avait été informé d'un risque de dépassement du plafond. Une version formellement démentie par l'intéressé. 

Lu sur France Info

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