Alexandre Benalla : la justice confirme en appel sa condamnation à 3 ans de prison dont 1 ferme<!-- --> | Atlantico.fr
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Alexandre Benalla a été condamné en appel ce vendredi 29 septembre à Paris à trois ans d'emprisonnement, dont un an ferme aménageable.
Alexandre Benalla a été condamné en appel ce vendredi 29 septembre à Paris à trois ans d'emprisonnement, dont un an ferme aménageable.
©BERTRAND GUAY / AFP

Peine

La justice a confirmé la condamnation d'Alexandre Benalla ce vendredi.

L'ancien chargé de mission de l'Elysée Alexandre Benalla a été condamné en appel ce vendredi 29 septembre à Paris à trois ans d'emprisonnement, dont un an ferme aménageable, dans l'affaire des violences du 1er mai 2018, une peine identique à celle prononcée en première instance.

Alexandre Benalla a en outre été reconnu à nouveau coupable d'avoir frauduleusement usé de ses passeports diplomatiques après son licenciement, fabriqué un faux document pour obtenir un passeport de service et porté illégalement une arme en 2017.

La peine de son ami Vincent Crase, jugé également, a elle aussi été confirmée en appel. Il écope d’une peine de deux ans avec sursis et dix années d’interdiction de port d’arme.

En première instance, celui qui fut au coeur du dispositif de sécurité d'Emmanuel Macron avait été condamné à cette même peine de trois ans d'emprisonnement dont un an ferme sous bracelet électronique. Lors de ce procès en appel, une peine de 18 mois de prison avec sursis avait été requise contre Alexandre Benalla.

Les images des deux hommes place de la Contrescarpe à Paris, filmées par le journaliste et militant Taha Bouhafs, avaient déclenché une tempête politique en juillet 2018, quand le journal Le Monde avait identifié, sous le casque des forces de l'ordre, ce proche du président.

Alexandre Benalla et Vincent Crase étaient poursuivis pour avoir brutalisé au total cinq personnes dans le Quartier latin en marge de la manifestation parisienne, alors qu'ils n'assistaient au défilé que en tant qu’observateurs. Les violences ont été reconnues sur quatre des cinq personnes.

France info

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