Affaire Bygmalion : nombreuses réactions des personnalités politiques après la condamnation de Nicolas Sarkozy<!-- --> | Atlantico.fr
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Nicolas Sarkozy lors de son procès dans le cadre de l'affaire Bygmalion.
Nicolas Sarkozy lors de son procès dans le cadre de l'affaire Bygmalion.
©Martin BUREAU / AFP

Justice

L'ancien chef de l'Etat a écopé d'un an de prison ferme dans l'affaire Bygmalion. Nicolas Sarkozy va faire appel du jugement. A droite, de nombreuses personnalités politiques ont apporté leur soutien à l'ancien président de la République.

L'ancien président de la République Nicolas Sarkozy a été condamné à la peine maximale d'un an ferme dans l'affaire Bygmalion, ce jeudi 30 septembre, pour financement illégal de sa campagne de 2012. Son avocat Thierry Herzog a annoncé que l'ex-chef de l'Etat allait faire appel du jugement. 
De nombreuses personnalités politiques ont déjà réagi après cette condamnation.
Valérie Pécresse a tenu à lui apporter son soutien : 
"Nicolas Sarkozy a été un grand président de la République. J'ai été fière d'appartenir à son gouvernement et de sa confiance. Je sais qu'il se battra jusqu'au bout pour défendre son honneur et je lui adresse aujourd'hui un message d'amitié."
Xavier Bertrand a publié un message sur Twitter suite à cette annonce : 
"Dans ces circonstances si difficiles pour lui, je veux redire mon amitié et mon estime au président Nicolas Sarkozy. Il sait pouvoir compter sur mon soutien."
Le président du groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau, a dénoncé "une sévérité aussi inhabituelle qu'exorbitante". 
Le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, Damien Abad, a réaffirmé son "soutien" et son "affection" à l'égard de Nicolas Sarkozy. 
Interrogé par l'AFP, Renaud Muselier, président LR de la région Paca, a confié que "notre pays ne se [grandissait] pas en condamnant comme ça un ancien président". 
Interrogée sur la condamnation de son ancien rival à la présidentielle de 2012, en marge d'un déplacement à Cavignac en Gironde, Marine Le Pen a répondu qu'elle n'avait "pas de réaction sur ce sujet".
France Info

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