Economie17 avril 2014
L'édito de Jean-Marc Sylvestre
Mario Draghi a autant de raisons d'intervenir sur la politique monétaire que de raisons de ne rien faire
Attendu comme la Pythie dans la religion grecque, Mario Draghi a laissé entendre qu‘il allait bouger, mais il n’a pas dit exactement dans quel sens et selon quel calendrier. Le président de la Banque Centrale européenne a autant de raisons d’intervenir sur la politique monétaire que de raisons de ne rien faire. Voici pourquoi.