Santéil y a 4 heures

Bactéries
La plupart des purificateurs d'air n'ont pas été testés sur des personnes, et on en sait peu sur leurs effets nocifs potentiels, selon une nouvelle étude
Filtres HEPA, UV, nanomatériaux, plasma… Si ces technologies de purification d’air sont présentées comme des armes contre la transmission de virus respiratoires, la réalité scientifique est plus nuancée. D’après une analyse parue dans Annals of Internal Medicine, moins de 10 % des études menées depuis un siècle évaluent réellement leur efficacité sur l’être humain, et très peu mesurent leurs éventuels effets secondaires comme la production d’ozone ou de formaldéhyde. Un constat qui appelle à la prudence des consommateurs et à la mise en place de standards d’évaluation rigoureux.