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Le fraudeur fiscal, en soustrayant une partie de son capital, ne s’acquitte pas de l’intégralité de l’impôt censé financer les services publics dont il profite pourtant.
T'ES PRIS, TU PAYES
17 juin 2013
Et si, plutôt que des amendes, on faisait payer aux fraudeurs au fisc le coût réel des services publics dont ils bénéficient en vivant en France ?
Politique fiction : que se passerait-il si l'on faisait rembourser aux fraudeurs au fisc démasqués tous les services dont ils ont profité sans en payer le prix via l'impôt ?
THEMATIQUES
EconomieJacques Bichot est Professeur émérite d’économie de l’Université Jean Moulin (Lyon 3), et membre honoraire du Conseil économique et social.
Ses derniers ouvrages parus sont : Le Labyrinthe aux éditions des Belles Lettres en 2015, Retraites : le dictionnaire de la réforme. L’Harmattan, 2010, Les enjeux 2012 de A à Z. L’Harmattan, 2012, et La retraite en liberté, au Cherche-midi, en janvier 2017.
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Jacques Bichot est Professeur émérite d’économie de l’Université Jean Moulin (Lyon 3), et membre honoraire du Conseil économique et social.
Ses derniers ouvrages parus sont : Le Labyrinthe aux éditions des Belles Lettres en 2015, Retraites : le dictionnaire de la réforme. L’Harmattan, 2010, Les enjeux 2012 de A à Z. L’Harmattan, 2012, et La retraite en liberté, au Cherche-midi, en janvier 2017.