Élections au Conseil supérieur de la Magistrature
Et revoilà le Mur des Cons...
Le Syndicat de la Magistrature progresse de trois points.
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Depuis le scandale du Mur des Cons, on les avait un peu oubliés. Mais ils sont là et bien là. Leurs résultats électoraux en témoignent.
Ces magistrats ont une spécialité : certains de leurs collègues disent le droit, eux disent le tordu... Leurs décisions sont entièrement dictées par leurs a priori idéologiques et leurs passions politiques.
Ils sont d’extrême-gauche. En conséquence de quoi, ils regardent avec bienveillance les délinquants d’origine étrangère. S’ils sont contraints de mettre en examen un migrant violeur, ils lui accorderont le bénéfice du bracelet électronique.
Et si le juge d’application des peines est membre du Syndicat de la Magistrature, il usera et abusera de la libération conditionnelle. Ces militants (terme préférable à celui de magistrats) sont inquiétants. Et de plus en plus nombreux. Avec eux, l’insécurité restera largement impunie.
Certes, ayant été découverts, ils ne referont plus le Mur des Cons. En tout cas, pas dans leurs locaux. Mais ils pourront s'entraîner à ce jeu à leur domicile...
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