On ne prête qu’aux riches
Carlos Martens Bilongo (LFI) a le sens de la famille
Qui pourrait lui en vouloir ?
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Il est député LFI de Sarcelles. Il est, selon ses propres dires, pauvre. Ce pourquoi il occupe un logement social à loyer modéré. Le problème est qu’il sous-loue cet appartement à une de ses sœurs. Comme ça, l’argent reste en famille. C’est pas gentil ça ?
D’autres problèmes sont à citer. Carlos Martens Bilongo est propriétaire de deux appartements. Ce qui ne l’empêche manifestement pas d’habiter une HLM ! Qu’en dit Mélenchon ? Rien. Et c’est Raquel Garrido qui s’est dévouée pour prendre sa défense.
Ce député (pauvre, rappelons-le) est également à la tête de deux sociétés qu’il a fondées. Elles lui ont rapporté l’année dernière 200 000 euros. Somme qu’il a « oublié » de déclarer à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.
Normal : Carlos Bilongo était occupé à écrire un livre dont le titre sonne comme un manifeste : « Noir et Français ». Pourquoi, Français ce n’était pas suffisant ?
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