Economie16 juillet 2012
Qui veut faire l'ange...
A trop vouloir empêcher les entreprises de licencier, tôt ou tard, les bulles finissent par éclater...
Alors que le groupe PSA Peugeot-Citroën a annoncé la suppressions de 8000 postes, Arnaud Montebourg a affirmé jeudi que Peugeot "devait quelque chose à la Nation française". Mais à force de rigidifier le travail par des lois interdisant ou rendant difficile les licenciements, on empêche l’adaptation des firmes à ses marchés ce qui se traduit, tôt ou tard, par des plans sociaux massifs et des fermetures d’usines
A trop vouloir empêcher les entreprises de licencier, tôt ou tard, les bulles finissent par éclater...
avecFlorin Aftalion