De tout temps, les forêts ont fasciné : à la fois source d’admiration et de nombreuses peurs, ces écosystèmes font fonctionner notre imaginaire. C’est plus que jamais vrai aujourd’hui : nombreux sont les chantres de forêts dites primaires, vierges de toute intervention humaine, et qui s’offusquent à la vue d’une tronçonneuse. Pourquoi faudrait-il considérer la forêt comme un sanctuaire alors qu’il est possible de la valoriser en conservant son capital d’année en année ?
20 juin 2021