Jacques Fabrizi a souhaité s'intéresser au regard des soignants dans une relation de soins quand le temps des traitements à visée curative n’est plus d’actualité. Extraits de "Déjà-presque-mort mais encore-si-terriblement-vivant" (2/2).
20 mai 2012Le Réseau Atlantico
Best-Of du 9 au 15 novembre
Jacques Fabrizi est fils du déporté Antoine Fabrizi, survivant du camp de concentration de Buchenwald. Il exerce la médecine générale en cabinet libéral. Sa formation en soins palliatifs et accompagnement, ainsi qu'en psycho-oncologie clinique, l'amène à développer une réflexion inédite à travers la thématique du regard et des incidences inconscientes dans la relation soignant-soigné. Fasciné par l'oeuvre de Jean Rustin, il établit un parallèle entre sa peinture et l'univers des soins palliatifs. Il est leader accrédité de la Société médicale Balint.
Jacques Fabrizi a souhaité s'intéresser au regard des soignants dans une relation de soins quand le temps des traitements à visée curative n’est plus d’actualité. Extraits de "Déjà-presque-mort mais encore-si-terriblement-vivant" (2/2).
Jacques Fabrizi a souhaité s'intéresser au regard des soignants dans une relation de soins quand le temps des traitements à visée curative n’est plus d’actualité. Extraits de "Déjà-presque-mort mais encore-si-terriblement-vivant" (1/2).