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À Propos

Laurence Biava est écrivain, et agent d'auteurs et d'artistes. Dernier ouvrage paru : "Le goût des bibliothèques" (Mercure de France).

Ses Contributions

Le Continent Masculin, Marin de Viry.Culture
CRITIQUE LITTÉRAIRE« Le continent masculin » de Marin de Viry : la recherche de l’amour (en milieu mondain)

Avec "Le continent masculin", Marin de Viry poursuit sa peinture acide de la société en mêlant satire sociale, quête amoureuse et regard féroce sur les codes masculins. Porté par un style érudit et théâtral, ce roman dissèque les illusions affectives et les faux-semblants du monde de l’édition, des affaires et des élites, à travers un anti-héros aussi lucide que désabusé.

avec Laurence Biava
Le portrait de l'écrivaine Stéphanie Hochet.Culture
Chronique littéraire« Armures » de Stéphanie Hochet

Stéphanie Hochet vient de publier "Armures" aux éditions Rivages. En découvrant les échos troublants entre sa propre vie et celle de Jeanne d'Arc, l'autrice revisite cette célèbre épopée pour en faire un conte moderne.

avec Laurence Biava
Mireille Clapot en 2017 à Paris.Culture
Chronique littéraire« Le dompteur du Loup-Sentier au Liban » de Mireille Clapot

Le nouveau roman de Mireille Clapot est un très joli texte choral qui nous plonge au cœur du Loup-sentier au Liban et de son histoire humaniste et historique. On y suit le parcours de Michel accompagnateur de groupe, en charge de cinq adolescents libanais, tous très différents les uns des autres, et de souche sociale également opposée. La petite troupe parcourt les villages maronnites, chiites ou druzes et s’impose des haltes avant de continuer jour après jour de frayer un chemin au cœur de cette montagne libanaise traversée du Nord au Sud.

avec Laurence Biava
article imageTribunes
Rentrée littéraireSe souvenir, c'est penser

« Le souvenir révoquait la couleur et le noir et blanc, il ondulait sur un fond plus ou moins gris, de la couleur de la matière du système nerveux central. Un souvenir avait plus à voir avec une pensée qu’avec une image. On regardait une photographie, on pensait un souvenir »

avec Laurence Biava