François Bayrou réfute les accusations dans le cadre de l'affaire des assistants parlementaires du MoDem<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique

Justice

François Bayrou réfute les accusations dans le cadre de l'affaire des assistants parlementaires du MoDem

François Bayrou était invité ce jeudi sur RMC et BFMTV, il a répondu aux questions de Jean-Jacques Bourdin. 

François Bayrou et sa formation politique sont malheureusement confrontés à des difficultés judiciaires. 

Le président du MoDem sera entendu le 6 décembre par les juges d'instruction du pôle financier dans le cadre de l'enquête sur les assistants parlementaires de sa formation politique. Un mail retrouvé par les enquêteurs pourrait mettre François Bayrou en difficulté. 

La justice soupçonne le parti d'avoir mis en place un système particulier. Les collaborateurs du Parlement européen auraient en fait travaillé pour le compte du parti tout en étant rémunérés par les institutions européennes.

François Bayrou a tenu à se défendre et à rétablir sa vérité face à Jean-Jacques Bourdin : 

"Ça n'est pas parce qu'on vous accuse de quelque chose que c'est vrai. (…) Ils étaient payés pour la fraction de temps par le Parlement européen et l'autre fraction du temps par notre mouvement, point. Il y a des calomniateurs. Les adversaires politiques les plus nuisibles, c'est ceux qui ont été près de vous à une certaine époque". 

Selon les informations de BFMTV, les enquêteurs auraient découvert un échange de mails de 2015 entre François Bayrou et un employé de sa formation politique. Dans ce courrier, l'employé se montre inquiet de la publication du livre de Corinne Lepage, une ancienne eurodéputée MoDem. Dans un autre message, François Bayrou aurait indiqué avoir "demandé à N. de ressortir d'urgence le document de 2009".

François Bayrou a précisé sur RMC et BFMTV que "le contenu de ce mail (était) totalement faux".

BFMTV - RMC

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !