Des militants de l'Action française ont tenté de perturber le Conseil régional d'Occitanie à Toulouse<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Crédits Photo: Capture d'écran Youtube / Huffington Post / DR
Des membres de l’Action Française se sont introduits dans l’enceinte du Conseil régional d’Occitanie à Toulouse, ce jeudi 25 mars.

Assemblée plénière

Des militants de l'Action française ont tenté de perturber le Conseil régional d'Occitanie à Toulouse

Des membres de l’Action Française se sont introduits dans l’enceinte du Conseil régional d’Occitanie à Toulouse, ce jeudi 25 mars.

Une dizaine de militants du mouvement Action française ont fait irruption ce jeudi 25 mars à Toulouse au Conseil régional d’Occitanie, où se tenait une assemblée plénière, selon des informations du Huffington Post et de La Dépêche du Midi. Ils ont laissé derrière eux une banderole ciblant « les islamo-gauchistes (…) traitres à la France ».

Carole Delga, la présidente de région, « condamne fermement cette action violente de la part de ces militants d’extrême droite. (…) Face à l’extrême droite, je le répète: je ne lâcherai rien et ne cèderai à aucune pression, d’où qu’elle vienne ».

Ils ont « tenté d’entrer par la force dans l’hémicycle pour interrompre le processus délibératif », selon la Région.

Carole Delga a annoncé qu’elle allait porter plainte.

Selon la Région, le service de sécurité a réagi « très rapidement, avec calme et sang-froid », pour empêcher cette intrusion de personnes se réclamant de l’Action Française.

« Aucun agent ou élu régional n’a été blessé durant cet incident qui a duré quelques minutes. La police nationale a été dépêchée sur les lieux pour arrêter ces individus », selon la Région.

Le maire LR de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, a condamné sur Twitter cette intrusion.

Huffington Post

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !