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Valérie Trierweiler : gueule de bois au Banana Café, George Clooney : marié comme au ciné, Nicolas Sarkozy : le big hug avec Jay-Z
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Revue de presse people

Mais aussi le reportage de l'ex-première dame à Madagascar, son engagement auprès des "enfants pauvres de France" et la menace d'une suite à "Merci pour ce moment", la deuxième grossesse encore plus compliquée de Kate Middleton, la chanson en duo de Vanessa Paradis et Benjamin Biolay, les confidences de Joyce Jonathan sur sa relation avec Thomas Hollande et, et, et... Olivier Sarkozy marié avec Mary-Kate Olsen ! Y'a toutes les nuances de l'amour dans la revue de presse people !

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Alors, ça y est, big George est marié ! Et ? Et, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il a pas fait les choses à moitié, Mr Clooney. Dans le genre super-mega-grosse production, les noces vénitiennes de George et Amal se posent même un peu là...

"George Clooney is inside !"

"Vendredi après-midi, George et Amal ont (...) fait une entrée fracassante, raconte "Voici", elle dans une robe D & G de sa garde-robe personnelle, lui simplement drapé dans son aura de star, pourchassés par quinze bateaux de paparazzi. Devant leur hôtel, quelques plaisantins n'ont pu s'empêcher de crier "George Clooney is inside !" Ils ont été récompensés de quelques bouteilles de tequila Casamigos par Rande Gerber en personne. S'en sont suivi quatre jours de festivités grandioses, qui ont commencé vendredi soir par l'enterrement de vie de jeune de fille d'Amal, qui a dîné avec sa soeur Tala et des copines" tandis que George retrouvait ses potos. Le lendemain, les tourtereaux ont été mariés par l'ex-maire de Rome, Walter Vetroni. Lui était en Armani, "avec des boutons de manchette offerts par Amal et gravés d'un "George" en arabe", nous dit le mag, tandis qu'elle portait une sublime robe de dentelle "brodée de perles et de brillants" Oscar de la Renta. "Les époux ont ouvert le bal sur une chanson d'Irving Berlin "Always" et "Why shouldn't I ?" de Cole Porter, précise "Voici". La playlist de la soirée était constituée d'airs de jazz des années 40 et les invités ont reçu en cadeau un iPod contenant les titres préférés des mariés (...) Les parents d'Amal et le père de George ont fait des discours émouvants. La fête (...) a duré jusqu'à quatre heures du matin. (...) Les mariés ont passé leur nuit de noces à l'Aman, et sont réapparus pour le brunch, le lendemain, dans les jardins de l'hôtel Cipriani. Le soir, à un dîner plus formel dans les anciens greniers de l'île de la Giudecca, Bill Murray et Matt Damon ont parlé à leur tour et fait rire les invités". Ca, on veut bien le croire... C'est quand même very, very chic, tout ça...

"Chaque apparition de George et d'Amal tient de la scène de film"

Les douze pages de photos — couleur et noir et blanc — publiées dans "Paris-Match" donnent bien la tonalité de l'ensemble : glamour et festive, à mi-chemin entre une comédie romantique des années 50 et la série des "Ocean's..." produite et réalisée par George, avec, peut-être, allez, disons-le, une touche de bling, comme en témoigne le cliché où l'on voit Amal, sa mère et ses copines en peignoir blanc, une coupe de champ' à la main, juste avant la séance coiffure et habillage. "Pendant plusieurs semaines, les assistants de Clooney ont conçu les festivités comme on produit un block-buster, indique l'hebdo. (...) Au cours de ce week-end nuptial, chaque apparition de George et d'Amal tient de la scène de film. Cheveux au vent et sourires éclatants, dans des tenues de grands couturiers, ils saluent les badauds assemblés pour les acclamer, entourés d'un aréopage de photographes. Venise offre sa plus belle lumière automnale, et le couple affiche un charisme cinégénique dont la Sérénissime est le parfait écrin. On croirait voir les Kennedy du grand écran, l'image idéale d'un couple puisant promis à un avenir radieux". Un avenir politique et présidentiel ? La suite au prochain épisode, hmmm ?

La deuxième grossesse de Kate Middleton pire que la première

Elle a fait le choix de passer de l'ombre à la lumière, d'épouser un prince et, avec lui, un pays... Cela a ses avantages, question confort, célébrité, etc. — cela a aussi ses inconvénients. Au royaume d'Angleterre, la tradition veut qu'une future reine donne deux héritiers à la Couronne dans les deux années suivant le mariage. Kate Middleton, la roturière, n'y a pas dérogé : elle a tout bien fait comme il fallait. Même si, pour la jeune femme, l'expérience de la grossesse est loin d'être une partie de plaisir... "Comme pour sa première grossesse, nous avertit "Closer", l'épouse du prince William souffre d'hyperemesis gravidarum, qui se caractérise par de sévères nausées et vomissements pendant le premier trimestre. Mais les symptômes ont été bien plus intenses que la première fois. Lorsqu'elle attendait son fils aîné, le petit George, la future maman avait fait sa première apparition officielle sur la BBC quinze jours seulement après l'annonce de sa grossesse. Cette fois, elle se terre à Kensington Palace, où elle souffre mille maux, depuis déjà trois semaines ! Sans oublier qu'au moment de l'officialisation de la merveilleuse nouvelle, le 8 septembre, cela faisait déjà un mois que la princesse n'était plus apparue en public..." Bad luck, Kate !

Kate fatiguée physiquement et moralement

"Le mal a été tel qu'elle a même renoncé à se rendre à des événements qui lui tenaient à coeur, poursuit le people. A commencer par le 30e anniversaire de son beau-frère Harry, le 15 septembre. Elle projetait de lui organiser une fête, qui a tout de même eu lieu, mais deux jours plus tard... et sans elle. Les 20 et 21 septembre, elle se réjouissait d'effectuer son premier voyage officiel en solo à Malte. Un signe de confiance de la part de la reine, qu'elle devait représenter. Là encore, intransportable, elle s'est fait remplacer par son mari. A cette fatigue physique s'ajoute un mauvais moral. Kate, qui aspire plus que tout à une existence normale, réalise que c'est impossible. S'occuper elle-même de ses deux enfants s'avère incompatible avec sa fonction et les obligations qui en découlent". Ah, c'est pas tout rose, la vie de princesse...

Vanessa Paradis et Benjamin Biolay : la chanson à deux voix

Il y en a deux qui voient la vie en rose, et de plus en plus, c'est Vaness et Benji ! "Il avait produit "Love Songs", son dernier album, et joué les multi-instrumentistes de luxe sur la tournée qui en avait découlé. Aujourd'hui, nous informe "VSD", Benjamin Biolay et Vanessa Paradis mêlent leurs voix pour "Pas besoin de permis", titre sautillant qui paraît ces jours-ci sur l'album live de la demoiselle. Celle-ci s'est un peu lâchée vis-à-vis de l'admiration qu'elle porte au ténébreux Benjamin : "Sa présence me porte. C'est sensuel, quasi charnel, intime"". Rouloulou ! Caliente...

Olivier Sarkozy et Mary-Kate Olsen mariés

Feront-ils des enfants ? D'après "Closer", en tout cas, Olivier Sarkozy et Mary-Kate Olsen seraient... mariés ! Hé ouais. "Après l'ex-top italien, voilà une actrice américaine fraîchement débarquée dans la famille Sarkozy !, s'exclame le mag. Le 27 septembre, Olivier Sarkozy, le demi-frère de l'ancien Président, aurait épousé celle qui partage sa vie depuis deux ans, Mary-Kate Olsen. L'actrice de 28 ans aurait été aperçue avec une alliance au doigt". Rôôô, en voilà une nouvelle !

Nicolas Sarkozy : le big hug avec Jay-Z

En fait de nouvelle surprenante, la rencontre de Nicolas Sarkozy et de Jay-Z l'est pour le moins... Comme "Voici", "Public" publie une photo de l'ancien président avec le chanteur-producteur et sa femme, Beyoncé. "Quand l'ex-Président "bling-bling", son surnom à l'époque, et deux chanteurs millionnaires se rencontrent, qu'est-ce qu'ils se racontent ? se demande le people. Le 30 septembre, Nicolas Sarkozy, inconditionnel du PSG, est venu saluer Jay-Z et Beyoncé qui assistaient au match PSG-Barcelone au Parc des Princes. La preuve que Sarkozy n'écoute pas que du Carla Bruni et connaît les stars du R&B..." Trop cool, Nico...

Joyce Jonathan présente sa maman

Et puisqu'on parle chanson, promo "Danse avec les stars" oblige..., Joyce Jonathan prend la pose cette semaine dans "Gala" avec sa maman, "dans son QG familial, en plein coeur du Quartier latin". L'intérieur est cossu — parquet, moulures et cheminée — et joliment décoré, avec un mélange d'éléments contemporains et d'objets anciens, d'influence asiatique, à en juger par les photos accrochées aux murs, où l'on découvre le portrait d'une famille chinoise et le drapeau rouge étoilé revisité. On l'apprend, de fait, dans l'interview : Patricia Tartour, la mère de Joyce, a crée l'agence de tourisme, La Maison de la Chine, il y a trente ans. "Votre père l'a quittée pour une femme plus jeune quand vous aviez douze ans. Un départ qui a inspiré votre chanson "Le piège", remarque le magazine. Qu'est-ce qu'une petite fille de cet âge-là comprend à cette situation ?" —"Dans ce titre, je parle plutôt du phénomène en général, répond la chanteuse. C'est un schéma très fréquent, je le constate autour de moi ! Mais oui, même à douze ans, j'ai compris ce qu'il se passait. Je n'en ai pas du tout voulu à mes parents, c'était pour moi des problèmes d'adultes. Mais cela a sans doute créé des freins, car je suis beaucoup dans le contrôle de mes sentiments". Ahaaa, on dirait qu'on va aborder le chapitre privé et la question Thomas, là...

Quand Joyce se confie sur sa relation avec Thomas Hollande

"Vous avez récemment confirmé votre rupture avec Thomas Hollande, rebondit en effet "Gala". Comment faire le deuil d'une histoire qui s'achève ?" —"Je suis généralement d'abord dans le déni, même si je suis dévastée, confie Joyce Jonathan. Je me répète : "Ca va, c'est pas si grave", avec la gorge nouée. Et puis, d'un coup, ça sort. Je pleure toutes les larmes de mon corps et j'écris une chanson. Mais notre séparation n'est pas récente, elle date de six mois. Le temps a fait son oeuvre. Thomas et moi, nous sommes restés amis. Aujourd'hui, on a une relation très saine. J'apprécie ses qualités humaines, j'aime ce qu'il est. Je suis heureuse de l'avoir dans mon entourage". Oh, ben, ça ressemble à un bel hommage, ça, dis donc. Ca semble paisible, en tout cas.

Valérie grand reporter à Madagascar

Et puisque le nom du Président est lâché, quelles nouvelles, cette semaine, côté "feuilleton" ? En parcourant « Paris-Match », après nous être précipité sur les photos de George et d'Amal, on s’est surpris à traîner du côté des pages livres, à la recherche d’un article de Valérie Trierweiler. Depuis trois semaines et la sortie de « Merci pour ce moment », la journaliste n’a en effet plus rien fait paraître. Bizarre… l’ex première compagne se serait-elle mise en congés ? Mais, non, qu’on est bête ! Elle n’est pas partie en vacances, la Valérie, elle est partie en reportage à Madagascar ! Et elle n’est pas rentrée, depuis le temps ? Ah, ben, si – même que c’est « Voici » qui nous l’a appris, photo à l’appui (voir la RP du 22 septembre)… Et même que « Paris-Match » le publie aujourd’hui, le fameux reportage. Ah oui ? Hé oui ! Et ? Et… c’est déchirant, très, très, très émouvant. Car la reporter évoque ce qui est « un tabou sur l’île rouge. Les pères, les oncles, les cousins abusent de la plus jeune sans que personne en parle, s’en offusque. Plusieurs d’entre elles n’avaient pas 4 ans quand elles ont commencé à être violées au sein de leur propre famille. (…) A « Tana », la misère ne saute pas aux yeux, écrit Valérie, il faut aller à sa rencontre pour trouver l’inimaginable, l’indicible. Des dizaines d’enfants et leurs parents vivent au milieu des eaux croupies et des ordures. Ils n’ont rien. Même les bidonvilles d’Haïti, d’Afrique du Sud ou d’Inde semblent plus accueillants ». Hé bé, en fait de vacances, hein… C’est pas fini.

Valérie risque-tout

« La situation des femmes est particulièrement difficile à Madagascar, poursuit-elle. Nous apprenons l’existence du « marché aux filles » d’Ivohibe, à 700 kilomètres au sud de Tana. Nous partons dans cette direction. Quarante-quatre heures de routes et de pistes dangereuses avant de parvenir à ce village enclavé dont le nom signifie « grande montagne ». Nous devons montrer patte blanche, nous présenter à la mairie, à la police, au chef de district. Ne rentre pas qui veut à Ivohibe, pas même un homme d’un village voisin, sinon au péril de sa vie ». Hé bé, on dirait qu’en plus, c’est dangereux, tout ça…

Valérie sur le « marché aux filles »

« Ici, nous sommes chez les Bara, rapporte la journaliste. C’est cette ethnie qui a créé, depuis la nuit des temps, le marché aux filles, le « tsenan’ampela ». Il succède, chaque samedi, au marché aux zébus ; les éleveurs des alentours venaient y chercher des épouses. Ils pouvaient les tester, attendre qu’elles mettent au monde un garçon avant de s’engager. Le mari a toujours droit de vie ou de mort sur sa femme en cas d’adultère. (…) Les hommes viennent désormais chercher du bon temps avec l’argent de la vente de leurs bêtes. Les femmes célibataires se prostituent le temps d’une soirée. (…) Nous assistons aux négociations entre hommes et femmes. S’ils font affaire, ils disparaissent, parfois pour dix minutes à peine, dans l’hôtel d’à côté. Là où nous dormions la veille, 2 euros la chambre catégorie luxe. Ni eau ni électricité, cafards et souris en contrepartie ». Ah, ça change de l’Elysée !

Quand la reporter devient le sujet du reportage

Histoire d’être sûr qu’on a bien reçu le message, le reportage, assez curieusement, s’accompagne d’une interview de la reporter… « Entre ton livre et ce reportage, le contraste est saisissant ! », fait observer Catherine Schwaab. –« J’ai toujours admiré les reporters de terrain, ceux qui affrontent des conditions difficiles, répond Valérie Trierweiler. Je n’ai pas fait ce choix au début de ma carrière, car je voulais rester auprès de mes trois garçons ». Valérie, mère avant tout… —« « L’essoreuse du pouvoir » t’a permis de tester tes limites ? », lui demande sa consoeur. —« Les circonstances de la vie m’ont sans doute apporté une résistance psychique que je n’avais pas au départ. Je veux aujourd’hui rompre le silence ou l’oubli qui règne autour de certaines situations. Et avant tout celles des femmes et des enfants. Comme pour les jeunes filles nigérianes enlevées par Boko Haram ». Holà ! Sera-ce le sujet de son prochain reportage ? Il semble en tout cas que Valérie T. n’ait pas seulement envie de parler des femmes et des enfants…

Valérie au secours des enfants pauvres de France

« Quand le père Pedro (évoqué dans le reportage, ndlr) s’indigne contre l’indifférence des politiques, cela t’a-t-il ramenée à nos propres politiques français et leur dureté ? lui demande, des plus innocemment, bien sûr, Catherine Schwaab. Forte de ton expérience, estimes-tu que les politiques sont faits du même acier partout dans le monde ? » -« Sans doute. Je crois surtout que la politique isole de tout et de tous, réplique-t-elle. Un dirigeant, quel qu’il soit, ne peut plus raisonner en termes de cas particuliers. Il ne voit pas la réalité. Il s’endurcit, à la manière d’un médecin qui ne peut pas se laisser submerger par l’émotion. Nous, journalistes, sommes aussi dans une situation paradoxale. Une fois le reportage réalisé, nous rentrons chez nous, dans notre confort. Mais l’esprit, lui, reste un peu là-bas. (…) C’est pourquoi je veux aller au-delà du travail de journaliste, en étant présente au côté du Secours populaire, en France. Quand je côtoie les enfants de cette association, je me rends compte de la misère qui existe aussi chez nous. Je réalise que des enfants de France ne mangent pas à leur faim. Voir est autre chose que savoir ». Si ça n’est pas pour toi, ça, François, c’est pour personne… Valérie au secours des « sans dents », c’est fait.

Quand Valérie aspire à "tourner la page"...

Des fois qu’on aurait des doutes sur son « engagement humanitaire » – on ne sait jamais, hein ? -, l’ex-compagne du président le précise en conclusion : « C’est aussi à cause des événements récents et de cette exposition maximale que je ressens aujourd’hui l’appel du large. Personne ne me reconnaît au fin fond d’un village de Madagascar ou dans un quartier défavorisé au bout du monde. C’est sans doute la meilleure façon de passer à autre chose, de tourner la page. Et d’être enfin moi-même, libérée du passé ». Ah, vivement qu’elle la tourne, la page !

Valérie "la menace" : y aura-t-il un "Merci pour ce moment", volume 2 ?

Mais le veut-elle seulement ? A en croire "VSD", qui la met en couverture avec ce titre : "La menace"..., Valérie Trierweiler pourrait bien "remettre le couvert", et cela pour trois raisons. Tout d'abord, indique le mag, certains passages de "Merci pour ce moment" ont été supprimés de la version imprimée. Jugés trop "casse-gueule", c'est-à-dire diffamatoires, ils concernent Ségolène Royal (...) ainsi que nombre de conseillers de François Hollande, notamment Claude Sérillon, éphémère M. Communication de la présidence de la République, ou encore Stéphane Le Foll, actuel ministre de l'Agriculture et ancien directeur de la campagne du candidat socialiste en 2012. (...) La deuxième raison de poursuivre l'aventure éditoriale avec Valérie Trierweiler se résume en deux chiffres : 450 000 exemplaires de "Merci pour ce moment" écoulés en vingt jours et 9 millions d'euros de recettes (dont 1, 3 million d'euros pour Valérie Trierweiler et 3 millions pour la maison d'édition, ndlr). (...) Une intention que l'agent (de l'auteur) Anna Jarota, balaie : "Il n'y a aucun projet de suite. Elle a dit ce qu'elle avait à dire. En revanche, elle écrira sûrement d'autres livres, pas nécessairement autobiographiques"". Ah, ben, si l'agent à l'origine de la publication de "Merci pour ce moment" dit qu'il n'y aura pas de suite, c'est donc qu'il n'y en aura pas. — Certes (quoiqu'en même temps, perso, nous, on croit que ce que l'on voit, hum !) Reste, reste... la troisième raison pour laquelle Valérie pourrait effectivement décider d'en remettre une petite louche : une raison beaucoup plus déterminante, parce que beaucoup moins contrôlable, puisqu'elle ne dépend que d'elle...

Valérie Trierweiler "radicalisée"

Quelle est-elle, cette raison déterminante, parce que beaucoup moins contrôlable ? Valérie Trierweiler, nous dit "VSD", "a glissé du rôle de martyr à celui de mégère ! (...) Selon un récent sondage, 69 % des Français ont une mauvaise opinion de l'ex-première dame". Mais il n'y a pas que les Français qui ne l'aiment pas — si tant est qu'ils l'aient jamais aimée... "Ses relations et conseillers d'hier ont commencé à s'éloigner d'elle, inquiets de sa revendication forcenée de vengeance. "Dès le mois de juin, j'ai senti qu'elle avait basculé", lâche l'un d'entre eux à "Gala". L'ancienne première dame s'est radicalisée, encouragée par les couvertures des magazines qui relataient l'idylle jamais vraiment interrompue entre le Président et Julie Gayet, souligne le journal. Valérie Trierweiler s'est servie de cet ouvrage pour faire table rase du passé. Si l'argent ne fait pas le bonheur, il peut contribuer à aider nombre d'enfants à la dérive. L'ambassadrice du Secours populaire reversera-t-elle pour autant tout ou partie de son pactole à la jeunesse défavorisée, ou charité bien ordonnée commencera-t-elle par les siens ?" Bonne question, "Gala", surtout après la publication du reportage de Madagascar, les déclarations d'intention de l'ex-première dame quant à son engagement auprès des "enfants pauvres de France", et la pique très ouvertement adressée au Président... "Alors qu'elle laisse planer le doute sur une éventuelle suite à son livre, reprend "Gala", l'ancienne première dame irrémédiablement abîmée, ne semble pas décidée à tourner la page, à scruter d'autres horizons. A imaginer dans sa vie, à nouveau, la possibilité d'un "il"". Gasp ! M'est avis qu'on n'est padtafait sorti d'affaire, qu'on va encore s'en manger, du feuilleton... !

Valérie au Banana Café

Et, de fait, on s'en mange, du feuilleton... Mauvais timing, petite négligence dans l'écriture du scénario ? A l'heure où Valérie reporter nous conte les misères des petites filles et des femmes de Madagascar, l'ex-première dame se fait choper en train de faire la bringue en boîte. Pas n'importe où, vous me direz... "Dimanche 28 septembre, à 21 heures, nous apprend "Voici", Valérie s'est rendue au premier anniversaire de mariage de son ami le socialiste Jean-Luc Romero, conseiller régional d'Ile-de-France, et de son compagnon Christophe Michel. Un message que fait passer l'ex-compagne du président, fervente supportrice du mariage pour tous ? Peut-être, car Jean-Luc Romero est, à ce jour, l'un des rares hommes politiques à avoir révélé son homosexualité. C'est au Banana Café de Paris, non loin des Halles, dans une ambiance débridée, qu'avait lieu la réception. Flanquée de sa copine Saïda Jawad (la compagne de Gérard Jugnot) et vêtue d'une robe bleue à pois, Valérie s'est laissée entraîner dans une folle farandole. Au point de ne faire qu'un seul corps avec quelques "danseuses brésiliennes" à plumes et à strings pailletés du plus bel effet". Du plus bel effet, en effet, à en juger par les clichés. Avissss à Mesdames, mesdemoiselles et messieurs les opposants au mariage gay, Valérie vous a envoyé un message...

La petite phrase de Valérie au Banana

Après Valérie au secours des femmes de Madagascar et des enfants pauvres de France, Valérie au service du mariage homosexuel — à la veille de la Manif pour tous, qui plus est —, c'est presque trop beau pour être vrai. Ca ressemble, limite, à un programme politique... Le problème, car il y en a un — toujours le même —, c'est que le message, en substance, est brouillé. Comme "Voici", "Closer" était au Banana Café. Mais, lui, a recueilli ce petit témoignage : ""Valérie est arrivée aux alentours de 21 heures, souriante, sympa et d'humeur festive", raconte un guest. Après que les jeunes mariés ont prononcé un discours pour remercier leurs hôtes, complète le people, Valérie, star médiatique de la night, s'est emparée du micro : "Quand je vois Jean-Luc et Christophe, je crois encore à l'amour !"" Faut croire que c'était plus fort qu'elle et qu'elle ne pouvait pas s'empêcher de la ramener à elle... et à son histoire avec lui — avec "François", oui. De là à penser que tout est calculé ?

Valérie, gueule de bois

A la différence de "Voici", "Closer" publie des photos de la journaliste, après la fête, alors qu'elle rentre chez elle. On la voit surprise mais souriante à sa descente de voiture, souriante, toujours, alors qu'elle pousse sa porte, mais, là, visiblement fatiguée, très fatiguée — le regard un peu flou, le cheveu décoiffé, plus première dame du tout. Si on se faisait flasher à pas d'heure après une soirée festive et forcément arrosée, on n'aurait sûrement pas meilleure mine — on serait sans doute pire, même, on avoue. Reste qu'on n'a pas son histoire, son passé et qu'au final... ben, ça passe pas bien, ces images-là. On se demande, en fait, ce qu'elle fait là, pourquoi elle agit comme ça — pourquoi elle est toujours "dans la lumière" et pourquoi, surtout, elle continue de la rechercher, comme ça, quitte à paraître sous un jour ni très flatteur, ni très heureux. "Un mois après la parution choc de ses confessions, le piège de la femme vengée se referme peu à peu sur elle, conclut "Closer". (...) Alors oui, la petite fille de la ZUP est devenue riche. Oui, son succès éditorial valait bien une nuit d'ivresse. Mais sa gueule de bois ressemble à un enfer". Pas mieux. Sur ce, bon week-end, les loulous, le drôle d'été qu'on vit encore en octobre ne va pas s'éterniser, faut profiter !

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