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Les "faux adieux" de Sarkozy, Carla et “ son Raymond ”, Valérie “ dossier quasi diplomatique ”
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Revue de presse des hebdos

Quoi ? Quoi ! Il vient à peine de quitter l’Elysée que, déjà, il reviendrait ? Heu, c’est plus compliqué…

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Fausse sortie pour Nicolas Sarkozy ? “ Le Point ” semble le dire… Caramba ! Qu’est-ce qu’il va nous apprendre là ? Dans un article intitulé “ Les faux adieux de Sarkozy ”, le journal revient sur les paroles prononcées par le président sortant lors de son pot de départ : “ “ Mon engagement pour la France sera différent, croyez-le. Et puis, il ne faut jamais dire jamais. D’ailleurs, je ne l’ai pas dit… ” Ainsi parle Nicolas Sarkozy devant les membres de son cabinet réunis dans la salle des fêtes de l’Elysée, précise le magazine. Nous sommes le vendredi 11 mai. Il est midi et demi (…). Ce qui était un simple pot d’adieu, avec champagne, petis-fours et cadeaux — un autographe de Céline et une lettre de Barbey d’Aurevilly pour le président vaincu —, a soudain pris une allure très politique. La droite, et au-delà, la France n’en ont donc pas complètement fini avec Sarkozy ”. Ben ça, si on s’était attendu.

Une “ association des amis de Nicolas Sarkozy ”

Et “ Le Point ” en sait plus ? Oui, da. “ A cet instant, certains peinaient à contenir leurs larmes, reprend le journal. “ Rassurez-vous, a-t-il poursuivi, on va se voir tous les mois. J’ai besoin de vous garder près de moi et je serai là pour vous ”. Avec son aval, Emmanuelle Mignon, coauteur de son projet présidentiel, va travailler sur les statuts d’une association des amis de Nicolas Sarkozy. Mission : “ Il nous faudra revisiter mon bilan et ma présidence, c’est important ”, dixit celui qui ne laissera pas dire tout et n’importe quoi sur son quinquennat ”. Oh, oh, y aurait-il un plan come-back dans l’air ?

“ Tu me vois patron de l’UMP ? Ce sera sans moi ”

A moins que “ Le Point ” n’ait décidé de faire son intéressant… L’hebdo le précise deux pages plus loin : “ Connaissant bien le fauve, Alain Minc, son conseiller officieux, lui a suggéré de ne “ pas la faire à la Jospin ” qui avait déclaré publiquement se retirer de la vie politique au soir de sa défaite, et de laisser une “ petite porte ” de retour. En somme, ne jamais dire jamais… ” C’était donc ça ! Polisson, “ Le Point ”, hmm ! Le mag enchaîne : “ De même, Alain Minc lui a-t-il conseillé, avec Edouard Balladur, de prendre la tête de la bataille des législatives pour maintenir un semblant d’unité à l’UMP. “ Tu me vois patron de l’UMP ?, a-t-il rétorqué. Je compte sur la responsabilité des uns et des autres pour assurer la transition. Ce sera sans moi. L’UMP saura se trouver un chef ” ” Au moins, ça a le mérite d’être clair.

Membre du Conseil constitutionnel

Alors, la suite, c’est quoi, pour Nicolas ? D’après “ Le Point ”, “ l’ex-président occupera des bureaux parisiens, au 77 rue de Miromesnil, dit-on, et recrutera une partie du staff élyséen de Carla et seulement deux de ses secrétaires particulières. Il envisagerait, aussi, de reprendre son activité d’avocat. A Edouard Balladur, qui lui recommandait, en 2010, de réviser les règles de nomination des membres du Conseil constitutionnel en supprimant la désignation automatique des ex-présidents, il a répondu : “ Sûrement pas : j’ai moi-même l’intention d’y siéger quand j’aurai quitté l’Elysée ”. A ce titre, il percevra 12 000 euros mensuels et s’abstiendra de traiter les dossiers nationaux afin d’éviter tout conflit d’intérêts ”. En 2010, l’avait déjà pensé à tout.

L'ex-président exténué prend une pause d’au moins trois mois

“ Mais avant ça, continue l’hebdo, il s’accordera une longue période de repos, prescrite avec insistance par Carla. Où donc ? “ Avec Carla, on ne peut pas aller au Cap-Nègre à cause des photographes ”, s’est-il plaint auprès d’un proche. L’hypothèse d’un séjour dans un grand hôtel à l’étranger a été évacuée de peur de voir révélé le prix de la chambre. (…) Le 8 mai, après un long entretien téléphonique, le roi Mohamed VI l’a convié à passer quelques jours au Maroc dans une résidence royale, à l’abri des curieux, loin des journalistes, auxquels l’ancien candidat attribue encore et toujours sa défaite ”. D’après “ Paris-Match ”, l’ex-président et son épouse auraient au final repoussé l’offre du roi du Maroc. “ Le couple présidentiel ira plutôt en Italie, indique-t-il. Ensuite, ce sera le Cap-Nègre. Pendant au moins trois mois, Nicolas Sarkozy entend bien profiter de la vie, de sa femme, de sa fille. Il en a besoin. Il est exténué. Pour ce dernier combat, il est allé au bout de lui-même. (…) Une seule fois, il a posé un genou à terre. Le week-end de Pâques, au Cap-Nègre. Le président-candidat, déjà éreinté, s’accorde une petite pause. Une unique sortie est programmée : la visite d’une abbaye. Le déplacement est annulé à la dernière minute : il n’en a pas la force ”.

Carla et “ Mon Raymond, il est compliqué, mon Raymond ”

Gageons qu’à la rentrée, ses forces seront pleinement reconstituées… et qu’il apportera alors tout son soutien à Carla. “ Challenges ” nous en informe en effet dans un “ confidentiel ” : “ Carla Bruni sortira son album à l’automne. Parmi les chansons qu’elle a composées et qu’elle fredonne à ses amis, le titre “ Mon Raymond, il est compliqué, mon Raymond ”, a été inspiré par Nicolas Sarkozy. Dans une autre, qui s’intitule “ Les diseux ”, l’ex-première dame s’en prend aux journalistes, qu’elle ne supporte plus tant elle les a trouvés partiaux et médisants (notamment en prédisant son divorce en cas de défaite) ”. Carla/ Nicolas : sur la même longueur d’ondes…

Pas d’état de grâce pour François Hollande

Et notre président, dans tout ça ? “ Challenges ”, encore, nous le dit : François Hollande, hélas, trois fois hélas, ne connaît malheureusement pas d’état de grâce. “ A quasiment cinq contre un, les Français plébiscitent la limitation de l’écart des salaires dans les entreprises publiques ; et à deux contre un, ils approuvent la taxation à 75 % des revenus de 1 million d’euros. (…) Mais cela ne suffit pas à redonner confiance aux Français, selon le baromètre “ Challenges ” BVA Avanquest : “ Avec un indice de confiance (optimistes moins pessimistes) de – 32, François Hollande ne démarre pas dans le même climat d’euphorie que Nicolas Sarkozy, qui avait bénéficié d’un + 17 il y a cinq ans, soit près de 50 points d’indice au-dessus de son niveau actuel ”, note Gaël Sliman, directeur de BVA Opinion. Entre les deux scrutins, la crise est passée, et le président, à son tour, ne pourra le nier ”.

20 milliards supplémentaires à trouver pour démarrer le quinquennat…

Histoire d’en rajouter une couche, un vilain audit réalisé par Bruxelles, nous apprend “ Le Point ”, “ a été rendu public quelques jours après l’élection de François Hollande. Il aurait été exactement le même si Sarkozy avait gagné la présidentielle. Le verdict est cruel : la France ne respectera pas ses engagements. Paris avait annoncé que son déficit budgétaire ne dépasserait pas 3 % en 2013. Paroles, paroles… A “ politique inchangée ”, les experts européens ne croient pas une seconde à ce scénario. Leurs calculs font froid dans le dos : l’an prochain, le déficit français atteindra en réalité 4,2 % ! La différence, ce n’est plus l’épaisseur du trait. Cela représente 24 milliards d’euros. Les eurocrates ne font pas dans la dentelle : en clair, s’il veut tenir les promesses de la France, François Hollande doit commencer par trouver une vingtaine de milliards d’euros en dix-huit mois. Il a deux solutions : des impôts nouveaux ou des réductions budgétaires. Joli programme pour commencer un quinquennat ”. Tu l’as dit !

François, le cas Bayrou et le problème Martine

Mais il n’y a pas que les grands problèmes de l’Etat. Le président doit aussi faire face à de plus petits tracas… Dans un long article portant sur la manière dont François Hollande “ s’est emparé du pouvoir ”, “ Le Nouvel Observateur ” revient en détail sur l’attitude de Martine Aubry au cours des dernières semaines, notamment au moment de la “ gestion du cas Bayrou, l'allié surprise du second tour ”, aujourd’hui menacé dans sa circonscription. “ Cette opération “ Sauvez Bayrou ”, Hollande aurait voulu la conduire avec tact, raconte le journal. En complicité avec l’intéressé ! La solution n’est pas évidente. Raison de plus pour l’annoncer seulement quand elle aura été prise. Mais allez demander ça à Martine Aubry !  Lors de la réunion du comité politique autour de Hollande, puis devant le bureau national du PS, la première secrétaire a fait son job et rejeté sèchement l’hypothèse d’un retrait (de la candidate socialiste qui se présente face à Bayrou, ndlr). L’affaire était trop mal emmanchée pour qu’elle puisse agir autrement. Reste qu’elle aurait pu se passer de ses déclarations martiales sur les “ marchandages ” inacceptables, qui donnent le sentiment que la porte du moindre compromis est désormais fermée ”.

“ La Culture ? Plutôt laver les chiottes ! ”

Maladroite, Martine ? “ Comme tous les hiérarques du PS, Aubry est sur le chemin de la guerre, explique le journal. Même si elle n’y a jamais cru, tant l’évidence Ayrault s’impose progressivement, elle juge encore que Matignon lui revient de droit. Pour elle, le PS, c’est fini. Elle l’a dit avant même le 6 mai. Si elle n’est pas Premier ministre, elle retournera à Lille. C’est ce qu’elle jure en privé. Quand on lui a parlé, avant la présidentielle, de son éventuel atterrissage à la Culture, elle a eu ce mot définitif : “ Plutôt laver les chiottes ! ” Sacrée Martine ! Si brutale et sincère à la fois. Dans la négociation, elle ment sur les détails mais affiche sans fard tout ce qu’elle devrait taire. Du coup, au grand désespoir de Hollande, elle fige les contours du grand rassemblement de la nouvelle majorité présidentielle, sans voir d’ailleurs que sur ses propres terres, dans le Nord-Pas-de-Calais, le parachutage risqué de Jean-Luc Mélenchon, face à Marine Le Pen, est en train de bousculer le paysage de la gauche. Hollande en a les bras qui tombent. Que faire face à pareil gâchis ? Le PS, officiellement, ce n’est plus son affaire… ” L’est pas aidé, François…

Valérie Trierweiler, un “ dossier quasi diplomatique ”

Même “ Valérie ” semble difficile à “ gérer ”. “ Ah, les anniversaires roses !, s’exclame “ L’Obs ”, sourire en coin. Celui de Julien Dray, durant l’entre-deux-tours, en compagnie de DSK, est encore dans toutes les mémoires. A commencer par celle de Valérie Treirweiler, qui, ce mercredi 9 mai, a éjecté le pauvre “ Juju ” ( ? !) du pot offert aux équipes de campagne de Hollande. Encore une fois, celui-ci n’a rien dit. Il a laissé faire. Tant pis pour les amis… La compagne du président n’entend pas être une “ potiche ”. Les hollandais la surnomment “ Cécilia ”.Pour le prochain locataire de l’Elysée, c’est un dossier quasi diplomatique, tout aussi complexe, hélas — que ceux que soulève la terrible Mme Merkel ”. Bé, y’a pas qu’un maître à la maison, on dirait !

Valérie fait “ un coup en douce ”

“ Valérie Trierweiler en fait-elle trop ? ”, s’interroge, du coup, “ L’Express ” qui annonce en couverture une “ enquête sur l’influence de la Première dame ”. Tadam ! Mais qu’y a-t-il donc dedans ? Le 6 mai, à Tulle, commence le news, “ deux accordéonistes et une clarinettiste font leur apparition près du pupitre et entonnent l’air de “ La vie en rose ”. Hollande n’était pas au courant. La surprise est signée Valérie Trierweiler, avec la complicité (du maire de la ville), Bernard Combes. Un clin d’œil à la fois politique et intime — une ambivalence qu’elle savoure. (…) Trois jours plus tôt, l’élégante journaliste de 47 ans a eu l’idée de mettre cette chanson à l’honneur et a monté son coup en douce. La direction parisienne de l’équipe de campagne n’a pas été consultée. L’image la plus regardée de la soirée, celle qui restera dans la mémoire collective, leur a échappé ”. Mouais… perso, on n’est pas choqué choqué. Autre chose ?

“ Tous les ingrédients d’une future cour sont réunis ”

A dire vrai, pas vraiment. “ Pèse-t-elle sur les choix politiques ?, s’interroge “ L’Express ”. “ Personne, ou presque, n’a d’influence politique sur François — sa ligne, il en décide le plus souvent seul, et il s’y tient, explique un fidèle. En revanche, on peut regarder les choses de manière inversée : il n’est pas inutile qu’elle vous apprécie pour s’approcher de lui ” ”. Heu, c’est nous, ou ça paraît assez logique comme raisonnement, voire même limite souhaitable ? “ Regardez le parcours de Manuel Valls, dont elle a dit elle-même qu’ils étaient passés de la confiance à la complicité..., reprend “ le fidèle ”. Certes, il a énormément travaillé pendant la campagne, mais être dans les petits papiers de Madame est un atout maître pour gravir les échelons ” Va être content, Manuel, d’apprendre qu’il doit son ascension à “ Madame ” ! “ Tous les ingrédients d’une future cour sont réunis ”, conclut au final l’hebdo. Pour la démo, il en faudrait un peu plus… le problème, c’est qu’il n’y a rien d’autre : faudra vous en contenter, hmmm ?

Nadine Morano, dernière

On aurait aimé y consacrer plus de place tant le papier fourmille d’anecdotes sur la campagne de ces derniers mois, hélas, il n’est plus temps… “ Les Inrocks ” ont eu l’excellente idée de passer en revue et en détail, ce qui est rare, tous les livres parus sur la présidentielle. Parmi eux, “ Coups sur coups. Les petits secrets et les grandes manœuvres du duel Hollande-Sarkozy ” de Nicolas Barotte et Nathalie Schuck (Editions du Moment), où l’on apprend notamment “ que Dominique de Villepin était prévu au meeting de la Concorde mais avait finalement refusé et que Nadine Morano, “ découvrant les images du public bariolé à Vincennes ” au meeting de Hollande “ fait rire les invités en lançant tout haut : “ Regardez ça, ils ne sont même pas capables de se laver ! C’est ça, l’avenir de la France ? ” ” Vous trouvez ça drôle, vous ?

A lire, encore

Dans “ Le Point ” : “ Thomas, le fils médiatique ” ; “ Do you speak English, Mr Hollande ? ” ; “ La carte électorale qui fait rêver l’UMP ” ; “ Impôts : le piège des 75 % ” ; “ Grèce : un cauchemar nommé Aube dorée ” ; l’interview du président tunisien Marzouki : “ La France ne nous comprend pas ” ; “ Sheryl Sandberg, Mme Facebook ”.

Dans “ Le Nouvel Obs ” : l’enquête “ Les mystères d’Hollywood-sur-Seine. Qu’est devenu le rêve de Luc Besson ? ” ; “ Tricard ” sur Julien Dray ; “ L’étoffe d’Ayrault ” ; “ François et Angela condamnés à s’entendre ” ; “ Si la Grèce sortait de l’euro ” ; “ Le cri du “ grillon ” ” sur “ le mouvement M5S initié par le comique Beppe Grillo qui est devenu une force incontournable en Italie”.

Dans “ L’Express ” : “ Duflot : la fille d’à côté saisie par le pouvoir ” ; “ Mexique : les enfants perdus des cartels ” ; “ Facebook : l’ami qui vient de Moscou ” sur Iouri Milner ; “ Van Ruymbeke : un juge en solo ” ; “ Rescapé du goulag nord-coréen ”.

Dans “ Match ” : “ Jean-Marc Ayrault : l’architecte du président ” ; “ L’homme qui fait peur à l’Europe ” sur le leader de la gauche radicale en Grèce ; “ L’optogénétique : le rayon magique ” qui “ permet de guérir la maladie de parkinson, l’anorexie mentale ou encore certaines formes de cécité ”.

Dans “ Challenges ” : “ Face aux patrons, Hollande prêt à franchir le Rubicon ” ; “ Berlin pourrait bientôt être isolé dans l’austérité ” ; “ Enorme ”, le portrait de Louis Nicollin, le président du Montpeller HSC ; l’étonnante enquête “ Menace sur le CAC : les nouveaux escrocs pêchent au gros ” et surtout le gros papier de couverture “ Free a-t-il tout conquis ? ”

Dans “ VSD ” : “ Hitler, ce grand malade ” à propos des révélations extraites de documents inédits vendus aux enchères à Washington et “ Cannabis made in France ”.

Dans “ Les Inrocks ” : l’interview de Jean-Luc Mélenchon ; le portrait d’Anne-Sophie Lapix, “ Sans peur et sans reproches ”.

Côté dossiers, “ Le Point ” propose un “ Spécial Bordeaux. Millésime 2011 ” et un hors série “ L’épopée Sarkozy ” qui se laisse regarder. Il ne faudrait pas oublier Cannes… Sans hésiter, préférez le dossier des “ Inrocks ”, comme toujours le mieux fait. A lire, en priorité : l’interview de Wes Anderson et le portrait de Matthias Schoenaerts, la “ révélation" dunouveau film de Jacques Audiard. Il est beau, il est doué, il est musclé : ce Matthias-là, c’est un peu notre Ryan Gosling français… Sur ce, bon jeudi de l’Ascension, et bon pont, aux veinards qui le font !

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