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Zapping politique du jour : Marine Le Pen, Mélenchon, Hortefeux... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce lundi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Bernard Tapie sur Europe 1

"Une fois pour toute, je me fous complètement des rendez-vous. Qu’on trouve un autre prétexte pour expliquer pourquoi ils ont fait ces descentes-là, mais pas celui-là. Si ils veulent se faire Sarkozy, ils peuvent le faire, ça ne me regarde pas. Mais je n’ai pas envie de subir des dégâts collatéraux"

La vidéo du jour : Marine Le Pen, présidente du FN sur itélé


L'essentiel de ce lundi matin

Brice Hortefeux, ancien ministre et proche de Nicolas Sarkozy, sur RTL

Nicolas Sarkozy mis sur écouté ? "La position de Nicolas Sarkozy est simple : il entend être traité comme un justiciable comme les autres. 400 avocats ont décidé de dire "trop, c'est trop", ils montent au créneau pour le défendre, ce qui prouve que les droits de la défense sont en danger aujourd'hui. (...) Il n'y a pas d'affaires, il y a un feuilleton. On essaie de porter atteinte à son honneur. On fait de nouvelles tentatives pour lui régler son compte.  Est-ce un hasard lorsque la Garde des Sceaux réunit le 31 janvier l'ensemble des procureurs éberlués, qui s'entendent demander de faire remonter dans l'instant tous les dossiers sensibles à elle-même et à son cabinet. Est-ce un hasard, a poursuivi le proche de M. Sarkozy, lorsque le directeur et directeur adjoint du cabinet convoque M. François Falletti, procureur général de Paris, pour lui intimer l'ordre de quitter ses fonctions afin qu'il soit remplacé par quelqu'un de la sensibilité du ministre, comprenez la sensibilité socialiste ? Est-ce un hasard, à 15 jours d'un scrutin qui s'annonce très lourd, très difficile pour la majorité, que l'on envoie autant de boules puantes toutes exclusivement dans la même direction ? (...) Est-ce un hasard ? Je ne crois pas au hasard, je crois à une grande rationalité. Plus Nicolas Sarkozy incarne un espoir pour les Français, plus il est la cible de quelques uns..."

Patrick Buisson ? "C'est un fait divers grave mais c'est politiquement peu conséquent. Je partageais son analyse de la société mais ce qu'il a fait, c'est humainement triste".

L'UMP ? "Je suggère que l'on fasse une analyse après les élections municipales et européennes. Pas avant". 

Jean-Luc Mélenchon, leader du Front de gauche, sur RMC

Les affaires autour de Nicolas Sarkozy ? "Il faut faire confiance aux juges qui font leur travail. (...) Le secret de l'instruction, c'est un vieux rêve. C'est un moment nouveau dans la vie des institutions. Je ne vois pas qui a intérêt de ne pas voir revenir Nicolas Sarkozy à gauche. C'est sans doute à droite que cela pose problème". 

L'affaire Buisson ? "C'est étrange ce qui se passe à droite. On voit le fond de l'affaire, la superstructure de notre société politique est en train de s'effondrer. L'explosion idéologique est en cours. La crise de la droite est un aliment pour le développement de l'extrême-droite. (... ) Comment voulez-vous que les gens ne se posent pas la question du "tous pourris" ? Les gens ont l'impression de ne rien comprendre à ce qu'est la politique".

Pacte de responsabilité ? "Je préfère en sourire. C'est un marché de dupe. L'Etat va donner des sous et le Medef va donner des paroles. On va donner 30 milliards à Gattaz mais il ne veut pas qu'on sache ce qu'ils vont en faire. Ils vont se distribuer l'argent entre grands patrons. C'est une chose incroyable. Cette mesure ne donnera pas un million d'emplois, on se moque de nous  !"

Harlem Désir, premier secrétaire du Parti socialiste, sur France Info

Les municipales ? "Nous voulons garder un maximum de villes, qui ont été bien gérées depuis des années, mais nous voulons gagner des villes comme Marseille, Nancy ou Avignon, qui ont une équipe de talent. Nous avons 2 adversaires dans cette élection, c'est la droite et le Front national. Nous voulons empêcher que le Front national prennent des villes car c'est une catastrophe quand ils sont à leur tête".

Les affaires autour de Nicolas Sarkozy ? "La droite doit respecter la justice. Les juges mènent des enquêtes sans faire de distinction entre les justiciables. Il faut laisser la justice faire son travail. Si les faits sont vérifiés, c'est à dire trafic d'influence, ce sera très grave. Tout le monde le sait, les avocats ne sont pas à l'abri d'écoutes si les juges estiment qu'il y a un faisceau d'indices. Ils utilisent les moyens mis à leur disposition. Mais il faut respecter cela. Les droits du justiciable ne sont pas à remettre en question".

DSK mieux que Hollande ? "Je ne commente pas un sondage que je ne connais pas. C'est une question qui n'a pas été rendue public. Les Français ont choisi. D'abord à la primaire puis à la présidence de la République. Il n'est plus un acteur de la vie politique. 

L'Ukraine ? "Il doit y avoir de la fermeté de notre part tout en discutant avec la Russie. Il faut la ramener à la table des négociations. Il y a un rapport de force mais il faut une désescalade pour discuter désormais".

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