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Zapping politique du jour : Jean-François Copé, Mélenchon, Yade... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce vendredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Martin Schulz, président socialiste du Parlement européen

"Marine Le Pen a peur (...) Elle ne veut pas débattre avec un homme politique européen qui réfutera point par point ses arguments populistes pour l'Europe"

La vidéo du jour : Rama Yade, UDI sur iTélé

L'essentiel de ce vendredi matin

Jean-Luc Mélenchon, leader du Front de gauche, sur RTL

La manifestation ? "C'est un mouvement de gens syndicalistes, politiques ou non, qui en ont assez. C'est une marche décidée avant l. Cela exprime l'exaspération, le rejet, Le pacte de responsabilité a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, 30 milliards de cadeau aux patrons les plus riches au détriment des plus faibles. La nomination de Valls en a rajouté car il n'est pas vraiment de gauche. Je pense que cette marche sera un succès. 

"Dans un pays normal, il y aurait eu dissolution de l'Assemblée nationale, le pouvoir étant. Mais je ne pense pas que ce soit une bonne idée, je n'ai pas envie que la droite revienne. Dans ce pays, on ne vote pas, on ne demande rien aux citoyens".

Harlem Désir secrétaire d'Etat ? "Je comprends la polémique mais c'est le système Hollande, rien de nouveau. Le fonds du discours de Valls était catastrophique. Il a été nommé dans un mouvement de panique. Manuel Valls applique les idées économiques 

La politique menée par Hollande ? "Hollande scie la planche sur laquelle la gauche existe. La droite reprend de la vigueur et le Front national se voit déjà au pouvoir. Le bilan de François Hollande est désastreux".

Jean-François Copé, président de l'UMP, sur RMC

Valls populaire ? "Le vrai sujet c'est que Manuel Valls est un homme de communication mais pas de résultats. 50% en plus des régularisations de sans-papiers. C'est un homme qui applique la politique de François Hollande, il a donné l'impression d'être le plus actif. Mais ce qui compte, ce sont les résultats. Quel était le message du 30 mars ? C'était une sanction gigantesque que visiblement personne n'a compris à gauche". 

Les nominations ? "Ce sont des erreurs politiques. Mr Lemas est préfet et il va diriger une banque... chercher l'erreur. Il a des compétences mais pas à la tête d'une banque. Et puis Harlem Désir qui a échoué au PS et qu'on met sur des sujets européens. C'est un message désastreux donné à l'Europe. C'est un des recordmans de l'abstention au parlement européen, ça veut tout dire. François Hollande a donné des leçons de moral à tout le monde et il fait l'inverse. Il fait la même politique avec quasi les mêmes hommes. Les socialises ne sont pas dans la réalité. Regardez Manuel Valls, il fait des projets pour 2017, 2021, 2022... Ce sera trop tard". 

"Trouver 50 milliards d'économies, ok mais comment fait Manuel Valls ? C'est un marché de dupes. Le chômage idem, la compétitivité des entreprises, c'est pareil. Il n'a aucune chance d'y arriver. Le programme de Valls n'est pas suffisant car il ne parle que de bas salaires, or il faut aussi s'intéresser aux classes moyennes. Dans la réalité, il ne pourra rien financer. Le compte n'y est pas, il faut faire des économies au niveau des collectivités territoriales et des comptes publics. Il faut trouver des rabots dans la fonction publique. Valls a un double langage, car dans le même temps, l'Etat va embaucher des personnes dans la fonction publique. Il faut repenser le temps de travail des fonctionnaires de l'Etat, des collectivités locales et de la sécurité sociale. Il faut qu'ils soient moins nombreux et que leur périmètre d'action soit mieux défini".

Rythmes scolaires ? "Il ne faut pas appliquer cette réforme car elle n'améliore pas le niveau de scolarité. Il faut laisser le libre choix aux maires. Pas question d'être dans l'obligation de l'appliquer. On ne peut pas demander aux communes des économies et de l'autre leur demander de payer la réforme des rythmes scolaires".

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