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Zapping politique du jour : Jean-François Copé, Le Foll, Moscovici... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce mercredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Jean-François Copé, président de l'UMP sur LCP

"C'est un score qui marque un discrédit croissant lié au manque de résultats de la politique désastreuse que mène François Hollande. C'est une nouvelle étape dans la descente aux enfers de ce quinquennat"

La vidéo du jour : Christian Jacob, chef de file des députés UMP à l'Assemblée sur iTélé


L'essentiel de ce mercredi matin

Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement sur France Info

Alstom ? "Il n'y aura pas de transfert de technologie. Sur l'emploi tout est sur la table. Il faut qu'on pense à l'avenir de cette entreprise. Par rapport aux critères fixés, il y aura un choix. Le président de la République souhaite que l'emploi et les attraits de production restent en France. L'Etat fixe les objectifs mais le conseil d'administration tranchera. Il n'y a pas de choix à faire. (...) Aujourd'hui, on n'est pas comme en 2004 dans une situation de faillite, l'enjeu désormais est de construire un avenir. Là, il n'y a pas d'urgence. On ne laisse pas faire n'importe quoi. On joue notre rôle".

Le plan de stabilité ? "C'est une décision importante et lourde car il est rare que l'on définisse une trajectoire pour la France sur les 3 ans qui viennent. On a fixé deux axes : l'emploi et la réduction de la dette. Je comprends certains députés de la majorité qui ont des doutes sur notre action et ce qu'il faut faire. Mais désormais, la France doit prendre le train de la croissance et de l'emploi"

"Il faut pas s'arrêter à un plan. Il faut se projeter vers les actions à mener. On a un problème de compétitivité, c'est ça que je veux dire aux députés socialistes qui n'ont pas voté pour. La croissance est l'essentiel. La majorité n'est pas menacée. On doit être dans l'après et avancer. Le Premier ministre a changé les choses et a fait des propositions. Il a entendu les voix discordantes".

Pierre Moscovici, ex-ministre de l'Economie et des Finances, sur RTL

Le plan de stabilité ? "Oui j'aurais voté ce plan si j'avais été député. Ce qui compte c'est l’inscription dans un projet national et européen. C'est une identité social-démocrate. Nous avons choisi une voie grâce à ce pacte. Il faut dialoguer avec le Parlement, cela fait partie du jeu de la démocratie. Je comprends les désaccords mais l'enjeu va au-delà. La France doit se redresser avec plus de croissance, plus de compétitivité et moins de chômage. On ne peut pas avoir un choix alternatif. Quant au déficit, il faut le regarder et s'engager à le réduire. Mais il n'y a pas de soumission à Bruxelles. Le courage, c'est de faire ! Il faut redresser le pays, sans contrainte". 

Alstom ? "Je regarde cela avec intérêt mais avec plus de recul. L'Etat a eu raison d'intervenir car il y va de l'indépendance énergétique. Ce qui compte c’est de garantir la pérennité des sites et l'emploi. Il y a une orientation positive vers General Electric mais l'Etat va continuer à faire preuve de vigilance sur les points que je viens de vous citer". 

2 patrons à Bercy ? "Je suis dans une logique de solidarité. L'affaire du patron, j'en ai entendu parlé... Là, on est dans un modèle à l'Allemande. Il faut qu'il définisse des positions ensemble. Mais je souhaite que ça marche et je n'en ai pas de doute. 

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