WikiLeaks : Julian Assange annonce qu'il quittera "bientôt" l'ambassade de l'Equateur à Londres <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Julian Assange, fondateur de Wikileaks
Julian Assange, fondateur de Wikileaks
©Reuters

Départ

Le fondateur de WikiLeaks était réfugié dans l'ambassade de l'Equateur depuis 2 ans pour échapper à une extradition vers la Suède.

Nouveau rebondissement dans le feuilleton juridique de Julian Assange. Ce lundi, lors d'une conférence de presse, le fondateur de WikiLeaks a assuré qu'il allait quitter l'ambassade latino-américaine "sous peu", sans donner davantage de précisions. Plus tard, il a néanmoins précisé que son départ ne serait "peut être pas lié aux raisons invoquées par les médias du groupe Murdoch et Sky News", qui avançaient qu'il souffrait de problèmes de santé.  Plus tôt, le tabloïde The Sun et la chaine de télévision avaient, en effet, annoncé que Julian Assange pourrait sortir de l'ambassade à cause de ses problèmes pulmonaires et cardiaques. 

Lors de cette conférence, le ministre équatorien des affaires étrangères, Ricardo Patino, s'est exprimé, à son tour, pour suggérer le lancement d'une campagne internationale dans le but de "libérer" Julian Assange. L'Australien âgé de 43 ans fait l'objet d'un mandat d'arrêt européen émis par la Suède, son pays natal, dans le cadre d'accusations d'agressions sexuelles, qu'il nie.

"Nous continuons à lui offrir notre protection (…) nous continuons à être disponible pour parler aux gouvernements britanniques et suédois en vue de trouver une solution à cette sérieuse violation des droits humains de Julian Assange", a déclaré le chef de la diplomatie équatorienne. L'homme de 43 ans redoute d'être déporté aux Etats-Unis et de répondre à la publication, par son site internet, de milliers de documents top secrets appartenant au gouvernement et à l'armée américaines, dans le cas où il devait se rendre à la justice suédoise.

Lu sur lemonde.fr

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !